“Si ton cœur ne trouve pas la quiétude en 3 moments ….

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Si ton cœur ne trouve pas la quiétude en 3 moments:

1. Quand tu écoutes le Qour’ân
2. Quand tu assistes à une assemblée où l’on rappelle Dieu
3. Quand tu es dans la solitude, loin des troubles de cette  vie,

 alors supplie Dieu de te donner un cœur, car  ce que tu portes  dans ta poitrine n’en est pas un!”   
(Ibnou Qayyim ra)

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Dieu a caché 3 choses à 3 endroits …

A méditer!

wahid

   “Dieu a caché 3 choses à 3 endroits:

1. Son Contentement dans Son obéissance

Aussi, ne sois
pas avare d’actes d’obéissance, car tu ne sais pas par
quel acte tu obtiendras Son contentement.

2. Sa colère dans sa désobéissance

Aussi, ne t’aventure
dans aucun acte de désobéissance. Il se peut qu’il soit la
cause de Sa colère.


3. Ses rapprochés parmi Ses créatures.

Aussi, ne méprise
aucune de Ses créatures. Qui sait si elle ne pas partie de
Ses rapprochés?

(Imâm Zaynul ‘Âbidîn ra)

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FLASH ISLAM N°20

                          Août             Cha’baan 1428

 
FLASH ISLAM      N°20

 flash islam

HADITH, PAROLES ET TRADITIONS DU PROPHETE MOUHAMMAD 

 « Tout ce qui atteint le Musulman, épuisement, maladies, chagrins, douleurs, souffrances, angoisses, même une simple piqûre d’épine lui  vaut de la part de Dieu la rémission d’une partie de ses péchés.» (Boukhâri)

                                                                                                

DOU’A POUR SE PREPARER POUR LE RAMADAN :

الَلَّهُمّ سَلِّمْنِيْ لِرَمَضَانَ وَ سَلِّمْ رَمَضَانَ لِيْ وَ سَلِّمْهُ لِيْ مُتَقَبَّلاً

Allâhoumma sallimni li ramadâna wa sallim ramadâna li wa sallimhou li moutakabbala. 

« O Allah ! Protège moi pour le Ramadâne (des maladies qui m’empêcheraient de jeûner), rend le Ramadâne clair pour moi (l’observance de la lune afin de ne pas manquer à mon obligation), et préserve-moi des péchés durant ce mois afin que mes actions soient acceptées».

NOMS MUSULMANS :  

GARCONS : — Wâjid : qui trouve ce qu’il désire, qui rencontre son Seigneur et trouve l’extase.

Wajdi: même sens que ci-dessus.

Wijdâne: conscience, émotion, sentiment.

FILLES :          — Wâjida : voir précédent.

Wajdiyyah: voir précédent.

Wijdâne : voir précédent.

 
UN SOURIRE :
Un couple vient de commencer leur cours prénataux et comme activité l’instructeur demande au mari de porter un sac du sable – pour lui donner une idée comme de ce qu’est d’être enceinte. Le mari se met debout et en gesticulant dit : «

Ce n’est pas si difficile que ça ! »

L’instructeur laisse alors tomber un stylo et demande au mari de le prendre.

« Vous voulez que je prenne le stylo comme si j’étais enceinte, à la manière dont mon épouse le ferait ? » demande le mari.

« Exactement, » répond l’instructeur.

Sous le regard joyeux des autres maris, il se tourne vers son épouse et dit, « Chérie, ramasse ce stylo pour moi ! »

 
ASTUCE:

Faites bouillir des épluchages de mangue verte, dans des récipients tels les autocuiseurs, les pots en aluminium, etc. pour les rendre propre et brillant.

 


UN CONTE DE MARI :

Vous pensiez que vous n’aviez jamais connu le goût de la souffrance jusqu’à ce que vous rencontriez une femme grincheuse qui a fait de votre vie un enfer. Est-ce que c’est la femme avec qui je me suis marié ? Pensez-vous que vous ne tiendrez pas jusqu’à l’année prochaine? Lisez les épreuves et les tribulations d’un mari.

Quand vînt le moment de me marier, en dépit de ce qu’on disait, je me suis préparé à épouser une femme de ma communauté. J’avais une vie lamentable -ma maison était imprégnée d’une atmosphère ténébreuse, pleine de tristesse et de brutalité. Le déjeuner était composé d’une épouse hurlante, et je dînais de ses pleurs et de ses plaintes. A l’heure du coucher, j’étais assuré que rien n’a changé par ses imprécations.

Nous ne parlions jamais. Nous luttions. Notre maison était sombre avec des couleurs pâles et des configurations mystérieuses. Elle n’avait aucune vie et il n’y avait que deux éléments de vie: le soleil et les visiteurs.

Un jour, un proche nous invita à déjeuner chez lui. J’étais effrayé que mon épouse refuserait, ou qu’elle sauterait d’humeur, c’était ce qu’elle faisait le mieux ! Je lui demandai gentiment et avec bonté de m’accompagner et elle y convint sans broncher, elle était même polie. Je me suis demandé pourquoi !

Nous nous rendîmes à la maison de notre hôte. Nous avons été accueillis dans une maison qui était pleine de lumière, de joie, de bonheur, les raisons de l’harmonie qui existait entre lui et son épouse. Le bonheur était leur qualité, le respect était leur devise. L’amour les a guidés et a introduit la lumière dans leur vie. Ils étaient comme Shahryar et Schehrazade des mille et une nuit. Non, ils étaient comme des « lovebirds » qui ne parlent pas, mais chantent et gazouillent. Leurs mots entre eux étaient ceux d’un père et d’une mère, d’un frère et d’une soeur, d’un mari et d’une épouse, d’un compagnon, d’un ami, d’un guérisseur.

Je n’aurais jamais voulu les quitter, j’étais rempli de confusion. Mon épouse était si différente avec ce proche. Son visage était plus doux, et elle était calme au point qu’elle était devenue une partie de cette unité harmonieuse. En fait, elle n’avait rien de ce diable qui était venu pour faire de ma vie une misère. Je n’avais pas connu cette femme avec qui j’ai vécu un temps qui semblait déjà trop long.

« O Allah ! guide mon épouse et fait la comme l’épouse de notre hôte » pensais-je.

J’étais hanté par ce qui c’était passé, pensant aux raisons jour et nuit, à plusieurs reprises. Je ne pouvais jamais comprendre pourquoi ils étaient si différents de nous. Ainsi je décidai d’aller chez notre hôte et le lui demander, et il m’a étonné avec une réponse inattendue :

« Celui qui ignore, perd pour toujours ; et celui qui sait, gagne le monde et son bonheur. Une femme est un cadeau d’Allah » dit-il.

Il continua : « son coeur est une fontaine de bonté, sa poitrine est un noyau de chaleur, et son sang est un fleuve de parfum. Elle donne sans retour, elle est tolérante avec l’amour des bonnes conduites. Elle respecte son mari et garde sa dignité. Sa beauté est dans son esprit. Son charme et sa séduction sont dans son esprit éclairé, sa conscience, et son avis sage. Cela eut-il été différent que les grands hommes des lettres n’auraient pas dit : « derrière chaque grand homme il y a une femme » ou les « femmes sont la moitié de la société ». Pensez donc, ce qui se produirait si un homme n’apprécie pas ou ne respecte pas son épouse ? Vous n’avez aucune idée de ce que vous obtiendrez si vous l’embrassez avec votre bonté, même avec un mot ! »

 

J’ai laissé cet homme dans une humeur pensive et réjouie et je suis revenu à mon épouse cherchant sa rémission et regrettant la vie que j’avais gaspillée sans jamais essayer de la comprendre. Depuis ce jour, l’amour a béni notre maison du respect. Nous avons vécu plus joyeux tout autant que notre hôte et son épouse.

«La richesse diminue quand on la dépense tandis que la science croit quand on la répand »

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joie de vivre

 joie de vivre

joie


Mon frère, ma sœur
,

            Fais de ta vie une joie ! Mets dans ta vie du bonheur ! Ce bonheur, il est à ta portée. Dieu t’a crée pour l’au-delà, mais tu peux également être heureux sur terre. « Ô notre Seigneur ! Accorde-nous une belle part dans ce monde et une belle part dans l’autre monde », nous a enseigné le Qour’aan. (S2/V201)

Pour être heureux, il suffit de peu, de très peu même. Tout dépend du sens que tu donnes à ta vie. Tout dépend de la conception que tu en fais. Tes jours, tes mois, tes années, ta vie, tout t’appartient ! Fais-en ce que tu peux de meilleur pour toi-même et pour les autres. Sois en paix avec toi et tu le seras avec les autres aussi. Respire le bonheur de vivre et tu le feras respirer aux autres. Aime les autres et les autres t’aimeront. Sois où que tu sois tel un rayon de soleil ! A la maison ou au travail, dans la rue ou à la mosquée, illumine le cœur des gens !

 

 Répands le Salam. Rencontre ton frère, ta sœur avec un visage accueillant et offres leurs ton plus beau sourire. Le Prophète (saw) avait dit : « Ton sourire à ton frère est une aumône pour toi ». (Boukhari) D’ailleurs, il était lui-même toujours souriant. Hazrat Abdoullah Ibnou Harth (ra) dit : « Je n’ai vu personne de plus souriant que le Prophète (saw) ». (Ahmad)
Dis-leur une bonne parole, et « la bonne parole est une aumône ». (Boukhari-Mouslim) Aide celui que tu peux sur terre et celui qui est au ciel t’aidera. « La meilleure personne est celle qui est la plus utile aux autres ». (Boukhari) « Cependant que quelqu’un poursuivait sa route, voila qu’il trouva sur la route une branche épineuse. Il l’enleva. Dieu loua son acte et lui accorda le Pardon ». (Boukhari-Mouslim)
Sois généreux. Partage. Offres ce que tu peux de ce que tu possèdes et tu possèderas encore plus. L’aumône n’a jamais diminué la richesse d’une personne. Ne minimise surtout aucun de tes dons. Le Prophète (saw) a dit : «Ô femmes musulmanes ! Que l’une de vous ne minimise pas le cadeau qu’elle fait à sa voisine, ne serait-ce que le sabot d’un agneau ». (Boukhari-Mouslim)

Sois bon envers tes proches. Obéis à tes parents, embrasse tes enfants et aime ton époux (se). La bouchée de nourriture que tu places dans sa bouche  est une Sadaqah. Le Prophète (saw) avait même  fait la course à pied avec son épouse Hazrat Aïcha (ra), qu’il appelait parfois « Ya Houmayrah »- Ô la rousse-.

Sois une bénédiction pour tout un chacun : les humains bien sûr, mais aussi les autres créatures. Une femme de mauvaise vie fut pardonnée par Allah pour avoir donné à boire à un chien assoiffé. Et le Prophète (saw) a dit : « Pour toute créature vivante, il y a un salaire à qui lui fait du bien ». (Boukhari-Mouslim) Dans un autre Hadith, il est dit : « Toutes les fois qu’un musulman plante un arbre, et qu’un être humain, un animal ou un oiseau en mangent, il se voit inscrire autant d’aumônes jusqu’au jour de la Résurrection ». (Mouslim)
Bref, tu dois être pour tous, une vraie miséricorde. Si tu ne peux pas l’être en faisant de bonnes choses autour de toi, alors sois-le au moins en ne faisant rien de mal aux autres. « Tu épargnes les gens de ton mal. Certes, c’est une aumône pour toi venant de toi ». (Boukhari-Mouslim)

Ne mens pas, ne médis pas, ne calomnie pas, ne colporte pas. Tout cela t’éloignera des gens. Pour être tranquille toi-même et laisser les autres tranquilles, ne t’occupe pas de ce qui ne te regarde pas. Le Hadith dit : « Cela fait partie de la beauté de l’Islam d’une personne que de délaisser ce qui ne le concerne pas ». (Tirmizi, Ibnou Madjah)
Ne méprise pas les gens, c’est le signe de l’orgueilleux. Ne te mets pas en colère, les gens le seront avec toi. Ne blesse personne avec ta langue. La blessure physique se cicatrise, mais très souvent, celle de la langue ne se cicatrise jamais. Et « le vrai musulman est celui dont les musulmans sont à l’abri (du mal) de sa langue et de sa main ». (Boukhari-Mouslim)
Ne sois pas de ceux qui polémiquent, de ceux qui ont toujours leur mot à dire à propos de tout, de ceux qui ne sont jamais contents de rien, de ceux qui pensent qu’ils sont les bons, et les autres, les mauvais, qu’il faut s’occuper des défauts des autres et pas des leurs. « Que ce que tu connais de toi (comme défauts) t’empêche (des défauts) des autres ». (Michkât)
       

Tes yeux doivent pétiller de joie, ton visage resplendir de sourires et ton cœur briller d’amour et de compassion pour les autres.

L’amour et la compassion, c’est aussi parler, discuter, plaisanter, donner de la joie aux autres. « L’adoration la plus aimée d’Allah est une joie que tu procures à ton frère musulman ». (Madjma’oul Kabîr)
C’est ainsi que le Messager d’Allah (saw) plaisantait également avec les gens pour les distraire et les amuser. Hazrat Anas(ra) dit : « Le Prophète (saw) plaisantait avec nous. Il dit (un jour) à mon petit frère (en faisant un jeu de mots) : « Ô Abou Oumayr ! Qu’est devenu Nourayr ? » Ce dernier possédait en fait un nourayr (petit oiseau au bec rouge) avec lequel il jouait et qui était (maintenant) mort ». (Boukhari-Mouslim)
Mais il (saw) nous a aussi enseigné que plaisanter, ce n’est pas mentir. « Je plaisante, mais je ne dis que la vérité », disait-il. Un jour, il dit à une vieille femme : « Aucune vieille femme n’entrera au Paradis ». Puis, voyant son étonnement, il ajouta : « Ne lis-tu pas (dans) le Qour’aan : « C’est Nous qui les avons créées à la perfection, et Nous les avons faites vierges ». (qu’au Paradis elle ne sera plus vieille) (Michkât)
Mais amuser les gens, ce n’est pas non plus se moquer d’une personne ou la ridiculiser, l’humilier ou la déshonorer. Le sang, les biens et l’honneur de chaque personne ne sont-ils pas sacrés ? Et ne disons-nous pas que briser le cœur d’une personne est plus grave que de briser la maison de Dieu, la Ka’bah ?

Bref, mon frère, ma sœur, sois bon(ne), gentil(le), généreux(se), souriant(e) ! Que ta simple vue soit déjà pour les gens un plaisir. Que t’entendre soit une joie et te côtoyer, un bonheur ! Tu dégages au quotidien une joie de vivre, un optimisme permanent, un espoir ! Tu apportes la bonne nouvelle et tu n’effraies pas. Tu apaises et détends. Tu montres dans ta spiritualité que finalement, la religion est aisance et facilité. Tu aimes Dieu, tu aimes Son Prophète (saw), tu t’aimes toi aussi et tu aimes les autres. Finalement, tu as tout compris ! Tu as trouvé le chemin du Bonheur ! Puisque tu ne peux pas rajouter des jours à ta vie, tu rajoutes de la vie à tes jours !

Abou rayyane
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FLASH ISLAM N°19

FLASH ISLAM     N°19

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HADITH, PAROLES ET TRADITIONS DU PROPHETE MOUHAMMAD

« Ne dédaigne pas une bonne action même s’il s’agit de rencontrer ton frère avec un visage souriant » (Mouslim)

                                                                                               

DOU’A EN ENTRANT DANS LA MOSQUE :

الَلَّهُمَّ ِإنِّي أَسْأَلُكَ مِنْ فَضْلِك

Allâhoumma in nî asalouka min fadhliq

« O Allah ! je te demande de ta bonté».

NOMS MUSULMANS :

GARCONS :— Irfâne : la connaissance, la gratitude, le bienfait.

        — ‘Arif : qui détient la connaissance.

         — Hârith: qui étudie, qui médite le Qour’ane, prénom recommandé par le Prophète e.

FILLES :     — Hâritha : voir précédent.

                    — Dâriya: qui connaît les choses, savante, instruite.

                    — Zakiyya: intelligente, perspicace.

PAROLE DE SAGESSE:

Celui qui s’y enrichit (dans ce monde) est troublé par ses richesses et celui qui est pauvre s’attriste de sa condition ; celui qui court derrière le monde ne l’attrape jamais alors que ce monde suit celui qui le fuit (Ali (t))

NOS CROYANCES FONDAMENTALES:

On devient Kâfir si on ne croit pas en Allah ou si on désespère de lui. (Behesti Zewar)

UN MONDE SOURIANT :

« Il y a dix ans de cela quand j’étais encore étudiant à l’université, je travaillais comme stagiaire au Musée d’Histoire Naturelle de mon Université. Un jour pendant que je travaillais à la caisse de la boutique des souvenirs, un couple de personnes âgées est entré avec une petite fille dans un fauteuil roulant.

Pendant que je regardais cette petite fille, elle s’est légèrement penchée en avant. Je me suis alors rendu compte qu’elle n’avait  pas de bras et de jambes, juste une tête, un cou et un torse. Elle portait une petite robe blanche avec des points de polka rouges.

Quand le couple dirigea sa chaise vers moi, je regardais la caisse. Je tourna ma tête vers la fille et lui fit un clin d’oeil. Alors que je prenais l’argent de ses grands-parents, je regardai à nouveau la fille. Elle me donna le plus grand sourire et le plus mignon que j’ai jamais vu. Tout d’à coup son handicap disparu et tout ce que je voyais c’était cette belle petite fille, dont le sourire m’a simplement ravi et m’a donné instantanément un sens complètement nouveau à la vie. Elle m’a pris d’un monde de pauvres étudiants mécontents et m’a amené dans son monde ; un monde de sourires, de chaleur et d’espoir.

Cela était il y a dix ans. Je suis maintenant un homme d’affaires qui a réussi et quand je déprime et je pense aux ennuis du monde, je pense à cette petite fille et la leçon remarquable de vie qu’elle m’a enseignée. »

1. Le Prophète (sallallahu alaiyhi wassallam) avait l’habitude de sourire, au lieu de rire…

Il (e) souriait habituellement au lieu de rire. Aicha (Radhiyallahou anha), épouse du Messager d’Allah e a dit: « Je n’ai jamais vu le Messager d’Allah e  rire à grand éclat à tel point que j’aurais pu voir sa luette. Il souriait seulement … »

                                  [Sounan Abou Dawoud, Vol. 3,]

2. Le sourire du Prophète et le rire des compagnons dans les rassemblments…

Jabir ibn Samourah t raconte:  « Simak ibn Harb a demandé à Jabir ibn Samourah t , vous êtes vous assis en la compagnie du Messager d’Allah e ?»

Il dit : « Oui, très souvent. Il (le Prophète e) avait l‘habitude de s’asseoir à l’endroit où il observait la prière de matin ou l’aube jusqu’à ce que le soleil se levait ou s’était élevé ; il se mettait debout, et ils (ses Compagnon) parlaient de questions (se rapportant aux jours) d’ignorance, et ils riaient (sur ces questions) alors que (le Prophète e) souriait seulement. 

                                                                         [Sahih Mouslim, 1413]

3. Aller de l’avant et donner du bien être à votre aimé !

Fâtema t, raconte :

« Le Prophète e  m’a dit quelque chose secrètement (pendant sa dernière maladie) et j’ai ri. »

            [Sahih al-Boukhari, Vol. 8, Le Chapitre 68 sur le sourire et le rire]

4. Amusant avec votre famille !

Ibn Mas’oud e raconte : « Mélangez-vous avec les gens à condition que votre Dîne ne soit pas mis en péril, et soyez plaisant avec la famille ». [Sahih al-Boukhari, le Chapitre 81 sur « être gai avec les gens »]

5. Le Prophète e riait aussi ; parfois jusqu’à ce que ses dents de devant soient exposées…

Abou Zar t rapporte que le Prophète e a dit : « Je connais le dernier des habitants du Paradis qui y entrera et le dernier des habitants de l’Enfer qui y sortira. C’est un homme qui sera convoqué le Jour de la Résurrection et il sera dit : Présentez-lui ses péchés mineurs, et retenez ses péchés majeurs.

Alors les péchés mineurs seront placés devant lui, et il sera dit : tel et tel jour vous avez fait ceci et tel et tel jour vous avez fait cela.

Il dira : Oui. Il ne sera pas possible pour lui de nier, Alors qu’il craindra que les péchés majeurs soient présentés devant lui, il lui sera dit : A la place de chaque mauvaise action vous aurez une bonne action.

Il dira (alors): Mon Seigneur ! J’ai fait des choses (mauvaises) que je ne vois pas ici ».

Je vis ainsi le Messager d’Allah rire jusqu’à ce que ses dents de devant fussent apparentes. »

                                                                                                                             [Sahih Mouslim, Vol. 1, 365]

6. Faîtes sourire et rire vos parents…

Abdoullah ibn Amr ibn al-‘As t raconte : « Un homme est venu au Messager d’Allah e et lui dit : « Je suis venu faire allégeance avec vous pour l’émigration, et j’ai laissé mes parents en pleurs. »  Il (le Prophète e) dit : «Retourne et faire les rire comme vous les avez fait pleurer. »[Sounan Abou Dawoud, Vol. 2, 2522]

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FLASH ISLAM N°18

FLASH ISLAM      N°18

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HADITH, PAROLES ET TRADITIONS DU PROPHETE MOUHAMMAD 

« Celui qui désire que sa subsistance soit plus abondante dans ce monde et que sa vie soit prolongée, doit entretenir les relations familiales. »    (Al Boukhâri)             

                                                                                                

DOU’A EN ENTRANT DANS LA MOSQUE :

 

الَلَّهُمَّ افْتَحْ لِيْ اَبْوَابَ رَحْمَتِك

Allâhoummaf tah lî abouâba rahmatiq

« Gloire à Allah dans toutes les conditions »

 NOMS MUSULMANS :

GARCONS :— Ilhâm :inspiration.

Nadîm : commensal, compagnon de table.

Zaïd: accroissement, abondance, esclave affranchi par le Prophète e,

qui l’aimait comme un fils.

 

FILLES :  — Najwâ : secrete, confidence.

Youmniyya: d’heureuse nature.

Hanâ : félicitation, réjouissance, félicité.

 

PAROLE DE SAGESSE :« De longs soucis attendant l’homme que la justice agace. » ( Ibn Hazm)

 

UNE JUSTICE INFAILLIBLE :

Lorsque Oumar t voulu mettre à mort le général persan Hormouzane, celui-ci demanda un peu d’eau à boire avant de mourir. On lui apporta de l’eau dans un récipient. Il le prit, et sa main fut secouée d’un tremblement  convulsif.

« Allons ! Bois-la tranquillement », dit Oumar t. « Je garantis ta sécurité jusqu’à ce que tu aies fini de la boire. »

A ce moment, le condamné laissa tomber le récipient. Toute l’eau se répandit sur le sol. Oumar tordonna de le mettre à mort. « Ne m’as tu pas donné ta parole que j’aurai la vie sauve ?» dit alors Hormouzane.

Comment cela ?

Tu m’as dit, il y a un instant que tu étais garant de ma sécurité jusqu’à ce que j’eusse fini de boire l’eau que l’on m’a présentée. Cette eau, je ne l’ai pas bue et je ne la boirai jamais, puisque je l’ai jetée à terre.

Que Dieu  te maudisse ! s’écria Omar. Tu as obtenu ta grâce sans que je m’en aperçoive.

 

ASTUCE:

Ajoutez du citron dans les dâls et les feuilles de légumes, cela facilitera leur ingestion.

 

SANTE : INFOS SUR LE CANCER

DE QUOI SE NOURISSENT LES CELLULES CANCEREUSES:

A. Le sucre est un nourrisseur du cancer. En coupant le sucre, on coupe une ressource alimentaire importante pour les cellules cancéreuses. Les substituts du sucre comme sont fait avec de l’Aspartame et cela peut être nuisible pour la santé. Un meilleur remplaçant naturel serait le miel ou la mélasse mais seulement en très petites quantités. Le sel de table contient u  produit chimique pour lui donner une couleur blanche. Utilisez plutôt le sel marin.

B. Le lait amène le corps à produire du mucus, surtout dans la partie gastro-intestinale. Le cancer se nourrit du mucus. En coupant le lait et en le substituant avec le lait de soja sans sucre les cellules cancéreuses diminuent considérablement.

C. Les cellules cancéreuses prospèrent dans un environnement acide. Un régime basé sur la viande est acide et il est meilleur de manger du poisson, et un petit peu de poulet au lieu du boeuf. La viande contient aussi les antibiotiques de bétail, les hormones et les parasites de croissance, qui sont tous nuisibles, surtout pour ceux qui ont le cancer.

D. Un régime fait de 80% de légumes et de jus frais, de grains entiers, de semences, de noix aide le corps à rester dans un environnement alcalin. Environ 20% peut provenir de la nourriture cuisinée contenant des haricots. Les jus de légume frais fournissent des enzymes vivantes qui sont facilement absorbés et atteint les niveaux cellulaires en 15 minutes afin de nourrir et améliorer la croissance de cellules saines. Pour obtenir des enzymes vivantes afin de construire des cellules saines, essayer de boire des jus de légume frais (la plupart des légumes y compris l’haricot vert) et mangez quelques légumes crus 2 ou 3 fois par jour. Les enzymes sont détruites à la température de 40 degrés celsius.

E. Eviter le café, le thé, et le chocolat, qui contiennent beaucoup de caféine. Le thé vert est une meilleure alternative et a des propriétés anticancéreuses. Buvez de l’eau purifiée, ou filtrée, pour éviter les toxines connues et les métaux lourds dans l’eau du robinet. L’eau distillée est acide, évitez-le.

F. La protéine de viande est difficile à digérer et exige beaucoup d’enzymes digestives. La viande non digéré dans les intestins se putréfie et mène à l’accumulation de toxiques.

G. Les membranes cellulaires des cellules cancéreuses ont une couverture de protéine dure. En s’abstenant de manger moins de viande on libère plus d’enzymes pour attaquer le mur de protéines des cellules cancéreuses et on aide les cellules immunitaires du corps à détruire les cellules du cancer.

H. Certains suppléments développent le système immunitaire (les anti- oxydants, les vitamines, les minéraux, etc.) pour aider les cellules immunitaires à détruire les cellules cancéreuses.

I. Le cancer est une maladie de l’esprit et du corps. Un esprit dynamique et positif aidera le guerrier du cancer à survivre. La colère, l’intolérance et l’amertume mettent le corps dans un environnement stressant et acide. Apprenez à avoir un esprit indulgent et plein d’amour. Apprenez à vous relaxer et à apprécier la vie.

J. Les cellules cancéreuses ne peuvent pas prospérer dans un environnement oxygéné. Faites des exercices quotidiens, en respirant profondément pour mieux oxygéner les cellules. La thérapie par l’oxygène est un des moyens employés pour détruire les cellules cancéreuses.

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FLASH ISLAM N°17

FLASH ISLAM     N°17

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HADITH, PAROLES ET TRADITIONS DU PROPHETE MOUHAMMAD

« Celui qui aide les veuves et les orphelins, sa récompense est comparable à celui qui fait la guerre sainte et passe la nuit dans les prières surérogatoires et jeûne durant le jour. »                                                                                  

(Al Boukhâri)

 

DOU’A EN VOYANT UNE CHOSE DESAGREABLE :

الَحَمْدُ للهِ عَلَى كِلِّ حَال

Al hamdoulillahi a’laa koulli haal

« Gloire à Allah dans toutes les conditions ».

 

NOMS MUSULMANS :

GARCONS : — Wadîd : aimant, affectueux, attentionnée.

            Ibrâhim : nom d’un Prophète, fils du Prophète e né de Mâriyya.

Hassan: fils de Ali t et Fâtima (ra), bon et beau.

FILLES :      — Nadîma : commensal, compagnon de table.

Nidâ : appel, clameur.

Nassîba : compagnon, proche.

 

REFLEXION:

« Les maux et les germes de la mort que porte la civilisation actuelle résident, comme nous venons de le voir, dans linsatié­té des gens, dans la surproduction toujours plus débordante darticles des moins indis­pensables. Dans la pollution diverse, qui en résulte et dans le déséquilibre mental qui pro­vient de cette agitation infernale et ce bon­heur quon ne trouve plus en soi-même et quon recherche vainement dans les stupéfiants, 1alcool et la débauche. Nous ne parlons même pas de cette peur que les uns ont des autres et qui les pousse à imaginer ces armes diaboliques qui cachent pour ce monde fatigue, la fin la plus horrible et la plus certaine car nous sommes entres de nous-même dans un tourbillon qui dépasse de loin notre volonté et nos forces et il fau­drait une puissance vraiment surhumaine pour nous en sortir. ” (Salahouddine Kechride)

 

UNE SAGESSE : On dit à un sage : « Quand l’œuvre d’un homme commence-t-elle à se rapprocher de la perfection ? ». Il dit : « Quand tous les bons s’accordent pour dire que c’est un ange et que tous les mauvais s’accordent pour dire que c’est un démon. »

 

SANTE : INFOS SUR LE CANCER

1. Toute personne a des cellules cancéreuses dans son corps. Les cellules cancéreuses n’apparaissent pas dans les tests standards jusqu’à ce qu’elles atteignent quelques millions. Quand le médecin annonce  au patient qu’il n’a plus de cellules cancéreuses dans son corps après un traitement, cela signifie simplement que le test est incapable de détecter les cellules cancéreuses car elles n’ont pas atteint la quantité détectable.

2. Les cellules cancéreuses apparaissent entre 6 à 10 fois dans la vie d’une personne.

3. Quand le système immunitaire d’une personne est fort, les cellules cancéreuses sont détruites et ne peuvent se multiplier pour former des tumeurs.

4. Quand une personne a un cancer, cela indique qu’elle a des déficiences nutritionnelles multiples. Cela peut être du à des facteurs génétiques, environnementaux, au style de vie et à l’alimentation.

5. Pour surmonter ces déficiences nutritionnelles multiples, le changement du régime alimentaire associé à des suppléments renforce le système immunitaire.

6. La chimiothérapie implique la destruction des cellules cancéreuses et saines à développement rapide dans la moelle des os, les voies gastro-intestinales etc, et peut causer des dommages aux organes comme le foie, les reins, le cœur, les poumons…

7. La radiation brûle, marque et endommage les cellules saines, les tissus, les organes durant le traitement des cellules cancéreuses.

8. Le traitement initial par la chimiothérapie et la radiation réduit souvent la taille de la tumeur. Cependant, une utilisation prolongée de la chimiothérapie et des radiations n’entraîne pas une plus grande destruction des tumeurs.

9. Quand le corps a trop de déchets toxiques issus de la chimiothérapie et des radiations, le système immunitaire est dérangé ou détruit, ainsi la personne peut succomber à différentes infections et complications.

10. La chimiothérapie et la radiation peuvent entraîner les cellules cancéreuses à se muter et à devenir plus résistant rendant ainsi difficile sa destruction. La chirurgie peut aussi causer la propagation des cellules cancéreuses vers d’autres endroits du corps.

11. Une façon efficace de lutter contre des cellules cancéreuses est de les priver  des nutriments qu’ils ont besoin pour se nourrir.

Mft Louqman A.S. I.

 

«La richesse diminue quand on la dépense tandis que la science croit quand on la répand »

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FLASH ISLAM N°16

FLASH ISLAM     N°16

flash islam

HADITH, PAROLES ET TRADITIONS DU PROPHETE MOUHAMMAD

« Le bâillement vient du diable : lorsque l’un de vous a envie de bâiller, qu’il se retienne dans la mesure où il le peut, car si l’un de vous dit : « Aah ! » (en bâillant), le diable rit.» (Al Boukhâri)


DOU’A LORSQU’ON A UN EXCES DE COLERE :

أَعُوْذُ بِااللهِ مِنَ الشَيْطَانِ الّرَجِيْم  

A’ouzo billâhi minash shaïtânir radjîm

« Je cherche refuge auprès de Dieu contre Satan le maudit ».

NOMS MUSULMANS :

GARCONS :

Zaky : pur, vertueux,juste,intègre.

Safwâne: pur, limpide, lisse.

Iyâs: pluriel de Aws. Iyâs Ibn Mou’adh : premier Médinois converti à l’Islam.

 

FILLES : — Wafiyyah: toujours fidèle à ses engagements.

Joude : générosité, largesse, ; pluie , ondée.

Moujâba : exaucé. Moujâb : un des noms du Prophète (Sallallahou Alayhi wassallam).

 

UNE SAGESSE :  Les hommes sont ennemis de tout ce qu’ils ignorent. (Ali Ibn Abi Tâlib)

 

UN SOURIRE :

Une nuit 4 étudiants de Master en Sciences de Gestion (MBA) se sont amusés jusqu’à la dernière nuit des examens et n’ont pas étudié pour l’examen qui était prévu le lendemain.

Dans la matinée ils organisèrent un plan. Ils se sont salis les vêtements et le corps de façon bizarre avec de la graisse et de la boue.

Ils se présentèrent alors au Doyen en disant qu’ils avaient assisté à un mariage la veille et sur leur chemin du retour un pneu de leur voiture a éclaté et qu’ils ont eu à pousser la voiture toute la nuit et qu’ainsi ils n’étaient pas en condition de passer l’examen.

Le doyen était une personne juste et sage et il leur dit qu’ils pouvaient passer à nouveau l’examen après 3 jours. Ils promirent qu’ils seront prêts.

Au troisième jour, ils se présentèrent pour l’examen. Le doyen leur dit qu’une condition spéciale stipule que tous les quatre doivent s’asseoir dans des salles de classe séparées pour le test. Ils consentirent étant donné qu’ils avaient bien préparé l’examen durant les trois jours.

Le test consistait de 2 questions avec un total de 100 points.

Q. 1 : Ecrivez votre nom —-. – (2 points)      Q. 2 : Quel pneu a éclaté ? – (98 points)

 

IL APPRECIAIT LES BIENFAITS D’ALLAH :

Maulana Asghar Houssain (ra), connu de beaucoup comme Hazrat Mian, était parmi ces enseignants de Daroul Ouloum Deoband (www.darululoom-deoband.com) qui se préservaient de la célébrité et de la renommée.

Il a dépensé sa vie entière au service du Dîne en tant qu’enseignant des sciences islamiques et des milliers d’étudiants ont profités de sa connaissance et de sa grande piété.

Aujourd’hui, il n’y a peut être pas dans le sous-continent indien un savant connu qui ne soit son étudiant directement ou indirectement. Il a laissé derrière lui d’innombrables livres, sur des sujets uniques et dans une langue florissante qu’on retrouve rarement même dans les écrits d’il y a un siècle. Malgré sa position élevée dans la connaissance et la piété, sa simplicité et son humilité étaient telles que  celui qui le voyait ne pouvait pas s’imaginer qu’il était un homme d’un statut aussi élevé. Il habitait dans un petit quartier de Deoband (dans la province indienne de Saharanpur) et sa hutte était faite de boue. Chaque année quand la saison des moissons arrivait, différentes parties de sa hutte s’effondraient et, ensuite, beaucoup de temps et d’argent étaient dépensés pour les réparations. Mon révéré père Hazrat Moufti Mouhammad Shafi` (ra) était un étudiant particulier de Hazrat Mian qui était très amical avec lui.

Un jour mon révéré père lui dit : « Vous devez réparer votre hutte chaque année et, en raison de cela, vous subissez beaucoup de difficultés et vous dépensez beaucoup de temps et d’argent. Si vous le reconstruisiez avec des briques, vous serez soulagé de ces tribulations constantes ». Hazrat Mian (ra) avait le sens de l’humour. En entendant la suggestion de mon père, il le loua extrêmement et l’applaudi en s’écriant, « Excellent ! Moufti Sahab, excellent ! Voilà une suggestion logique ! J’ai habité presque toute ma vie entière dans cette hutte mais une telle pensée n’est jamais venue à mon esprit ».

Mon père dit : «Hazrat Mian (ra) répéta cette exclamation tellement de fois que je me suis senti profondément gêné. Finalement, j’ai dit : « Hazrat, mon intention était seulement de découvrir la sagesse derrière votre volonté de ne pas reconstruire – bien que vous ayez les moyens financiers —la hutte avec des briques. Donc, au lieu de m’embarrasser encore plus, s’il vous plaît, dites moi la véritable raison derrière cela ».

Au début Hazrat Mian essaya d’éviter de répondre à la question. Mais quand mon père ne cessa d’insister, Hazrat Mian pris sa main et marcha jusqu’à la porte d’entrée de sa hutte et dit :

« Regardez ! Regardez de part et d’autre de cette allée. Pouvez-vous voir de huttes construites de briques d’un bout de l’allée à l’autre ?  »

Mon père répondit négativement. Hazrat Mian dit : « Dites-moi, quand toutes les huttes de mes voisins sont faites de boue, comment me conviendrait-il d’habiter dans une hutte construite de briques ? Je n’ai pas les moyens financiers pour reconstruire toutes leurs huttes avec des briques. La raison pourquoi je ne reconstruis pas ma hutte avec des briques est parce que je me sens incommodé à l’idée d’être distinct de tous mes voisins ».

Tel était Hazrat Mian. J’ai relaté cet incident comme une courte introduction à son tempérament et à sa situation et, ainsi, le coté unique de son caractère pourra être apprécié. Ce caractère unique est — surtout à notre époque matérialiste — quelque chose qui dépasse notre imagination. J’avais l’intention de relater en fait un autre incident….

( Moufti Mouhammad Taqui Outhmâni )

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FLASH ISLAM N°15

FLASH ISLAm N°15

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HADITH, PAROLES ET TRADITIONS DU PROPHETE MOUHAMMAD 

« Allah n’a accordé un bien à un serviteur, et que celui-ci, ne dise Alhamdoulillah (Louange à Allah) sans qu’Allah ne le récompense pour sa reconnaissance. S’il prononce ces mots une deuxième fois, Allah lui renouvellera cette récompense, et s’il les dit une troisième fois, Allah lui effacera ses fautes.»  [AlHakim,Al Baïhaki

 

DOU’A LORSQU’ON VISITE UN MALADE :

أَذْهِبِ البَأْسَ رَبَّ النَّاسِ اِشْفِ أَنْتَ الشَّافِي لاَ شِفَاءَ اِلاَّ شِفَاءُكْ شِفَاءً لاَ يُغَادِرُ سُقْمًا  

Soubhânallazi  azhibil bas sa rab ban nâss ichfi antach châfi lâ chifâ a illa chifâouq chifâ an lâ youghâdirou souqmâ.

 « O Seigneur des hommes ! Ecarte le mal ! Guéris-le car tu es le seul qui guérit !

Il n’y a d’autre guérison que la Tienne, et c’est une guérison qui ne laisse la moindre maladie ».


NOMS MUSULMANS :

GARCONS : — Abou Bakr : beau-père du Prophète (e) et premier       calife. Ce surnom signifie : l’homme à la chamelle.

                                                           — ‘Adnâne : aïeul du Prophète (e).

                                                           — Wissâm: décoration, médaille, armoiries (e

FILLES :      — Jadwa: utilité, profit.]
Louweïza : diminutif d’amande.

Loujeïna : argent.

 

REFEXION: “Dans tout le monde arabe, les bibliothèques se multiplient. En 815, à une époque où 1Europe ne savait pas lire, le Calife Al-Mamoun fonde à Bagdad «la maison de la sagesse» qui rassemble un million douvrages. En 891, un voyageur compte dans la ville plus de 100 bibliothèques publiques. Au Xe siècle, une petite ville comme Najaf, en Iran, possède 40,000 volumes. Le directeur de l’observatoire de Maragha, Nasim ad-dîne at toussi, réunit une collection de 400,000 volumes, alors que quatre siècles plus tard le roi de France Charles  V, le sage, réunira à peine 900 volumes. Mais nul ne peut rivaliser avec le calife du Caire, Al-Aziz, dont la bibliothèque comporte un million six cent mille volumes, dont 6000 de mathématiques et 18,000 de philosophie. » (Roger Garaudy, Grandeur et décadence de l’islam)

 

SAGESSE ARABE : « Il vaut mieux se repentir d’avoir gardé le silence, plutôt que de se repentir d’avoir parlé. »

 

UN SOURIRE: Il y avait un cas dans l’unité de réanimation de l’Hôpital, où les malades meurent toujours sur le même lit, chaque dimanche matin à 11am – sans rapport avec leur condition médicale. Ceci troubla énormément les médecins et quelques uns pensaient même que ce lit particulier était celui du Diable… pourquoi des morts à 11am les dimanches matins ? Une équipe mondiale d’experts a été constituée et ils ont décidé de descendre à la section pour examiner la cause des incidents. Donc le dimanche matin suivant, quelques minutes avant 11, tous les médecins et toutes les infirmières ont attendaient nerveusement hors de la section pour voir le phénomène terrible se produire. Quelques-uns tenaient des bâtons en bois, des livres de prière et d’autres objets saints pour éviter les esprits diaboliques… A 11h l’horlorge sonna… Mama jane entra (le nettoyeur à temps partiel du dimanche). Elle pénétra la section de réanimation et débrancha le système de survie artificiel du malade pour pouvoir utiliser son aspirateur ».

 «La richesse diminue quand on la dépense tandis que la science croit quand on la répand »

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Mft Louqman A.S. I.




FLASH ISLAM N°14

FLASH ISLAm N°14

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HADITH, PAROLES ET TRADITIONS DU PROPHETE MOUHAMMAD e

« Chaque fois qu’un Musulman plante un arbre ou sème une graine, il aura droit à une récompense (céleste) pour tout ce qu’un oiseau, un homme ou un quadrupède mangera (de ce qui en sortira).»                                                                                                                                  [Boukhâri]

 

DOU’A LORS DE l’éclatement du tonnerre :

  سُبْحَانَ الذَّيِ يُسَبِّح ُالرَّعْدُ بِحَمْدِهِ وَ المَلا َئِكَةُ مِنْ خِيْفَتِهِ   

Soubhânallazi  Yousabbihour ra’dou bihamdihi wal malâ iqatou min khîfatih

 « Gloire à celui dont le tonnerre et les anges célèbrent ses louanges avec crainte ».

 
NOMS MUSULMANS :

GARCONS : — Marwâne: le silex, le quartz.

                   — Maquine : solide, stable, vigoureux.

                   — Amîne: fidèle, sûr, digne de confiance. Nom donné au Prophète (e)


FILLES :      — Mâwiyya: femme pure.

Amîna : même sens que ci-dessus.

                   — Loubna : le benjoin.


La douceur du Imâne (Suite ET FIN) : (histoire exclusivement réservée aux femmes).

 … Quand nous atteignîmes l’endroit où habitait sa famille, on frappa à la porte. Un grand garçon, son frère, nous ouvra. Quand il vit sa sœur, il était heureux, mais aussi perplexe. Sa sœur était aussi heureuse de le voir ; mais il ne put contenir sa curiosité. Le visage était celui de sa sœur, mais la robe ne l’était pas. Toute vêtue de noir – toute couverte, sauf le visage ! Elle entra dans la maison souriante et embrassa son frère. Je suis entré après elle et me suis assis dans le salon.

La maison était celle d’une de famille de basse classe et très simple. On pouvait y voir les signes de la pauvreté. Je me suis assis seul pendant qu’elle pénétrait les pièces intérieures de la maison. Je pouvais les entendre parler, hommes et femmes, dans la langue russe, sans comprendre un mot, ni sachant ce qui se passait là dedans. Soudain leurs voix se sont élevées, les tons ont changé et les cris ont augmenté. J’ai senti qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas, mais j’étais incapable de me faire une idée de ce qui se passait car je ne comprenais pas la langue. Peu de temps après, trois jeunes hommes et un vieil homme se présentèrent à moi. J’ai pensé qu’ils étaient maintenant prêts à accueillir leur gendre, mais l’accueil s’est avéré être des gifles et des coups. Ils commencèrent à me battre. Quand je me suis retrouvé entre ces gens inhumains j’ai su que je pourrais mourir ici. J’ouvris précipitamment la porte et je m’enfuyais aussi vite que je pouvais alors qu’ils me poursuivaient. J’ai réussi à les semer. Arrivé en lieu sûr,  je me suis examiné et il y avait des signes de coups sur mon front, mes joues et mon nez. Ma bouche saignait et mes vêtements étaient déchirés. Je me suis dit. « Je suis maintenant en sûreté, mais quel est la situation de ma femme ? » Je ne cessais de  penser à elle. Sa pensée hantait mes esprits, « Est-ce qu’en ce moment elle est aussi entrain de subir ces gifles, ces coups, faisant face toute seule à ce que je viens de vivre? Je suis sûr qu’elle me quittera. Je suis sûr qu’elle renoncera à l’Islam ». Je suis resté dans ma pièce jusqu’ à l’aube. J’ai changé mes vêtements et je suis sorti  pour essayer de trouver une quelconque information.

J’ai observé leur maison de loin, essayant d’imaginer ce qui se passait à l’intérieur, mais la porte était fermée.

Des heures et des heures se sont écoulées pendant que j’observais en allant  et venant. J’ai fais la même chose le deuxième jour et le troisième jour j’ai perdu l’espoir et j’ai pensé que ma femme était morte. Elle a été assassinée. Mais, si elle était morte, alors au moins il aurait dû y avoir quelques mouvements dans la maison, des visites de condoléances aux parents !

Mais je n’ai rien vu. Au quatrième jour, après que les gens de la maison étaient allés à leurs travaux, la porte s’est ouverte, et ma femme apparu, regardant à droite et à gauche. Je n’ai jamais vu de ma vie une scène plus agréable que ce que j’observais maintenant malgré le fait que son visage étais rouge couvert de sang! Je me précipita vers elle et essaya de la dévisager. J’étais abattu et confondu. Je me suis senti malade. Sa couleur avait changé au rouge. Il y avait du sang sur son visage, sur ses bras, sur ses cuisses et sur ses jambes. Seulement un petit morceau de tissu recouvrait son corps. Ses pieds et ses mains étaient enchaînés et verrouillés derrière son dos. Je l’ai regardée et je me mis à pleurer. Je ne me contrôlais plus. Elle m’a dit : « 0 Khalid, écoute ! Premièrement, soit rassuré, je suis toujours Musulmane. Ce que je subis maintenant, ce n’est rien comparé à ce que les Sahabah et Tâbi’in ont endurés ensemble avec le Prophète e et les Messagers avant eux. Deuxièmement, je te demande, Khalid, que tu n’interfères pas entre moi et ma famille. Troisièmement, attends moi dans la chambre d’hôtel jusqu’ à ce que je te rejoigne là-bas, Insha-Allah, mais surtout augment tes dou’as et tes prières la nuit. Fais ta salah. » Je suis rentré à l’hôtel et j’y suis resté. Après trois jours, j’entendis quelqu’un frapper à la porte. Je me demandai : « Qui est-est ce ? Qui pourrait être à la porte ? »                Soudain j’entendis le son d’une voix très familière. Je n’avais jamais entendu une voix si douce, si agréable et si belle que celle-ci. C’était la voix de ma femme me disant : « Ouvres la porte, je suis untel ». J’ouvris la porte et le monde rayonna à mes yeux. Elle m’a dis : « Viens, partons maintenant ». « Maintenant ? ! » Je demandai, tout à fait étonné. « Oui », dit-elle. Nous sommes montés dans un taxi. Je l’ai demandé en russe, « L’aéroport ? » Elle dit : « Non ! Non ! Nous n’allons pas à l’aéroport. Nous allons à tel et tel village ». « Pourquoi ? Nous ne voulons pas nous sauver ? » Demandai-je. Elle répondit :« Non, si ma famille apprend mon évasion, elle essaiera de nous poursuivre à l’aéroport. Mais allons à un village, puis de là-bas à un autre village, ensuite un troisième, un quatrième, un cinquième, et après une ville avec un aéroport international ».  Nous avons réservé finalement nos billets et avons réservé une pièce jusqu’ à notre départ.  J’ai regardé ma femme, essayant de voir si une partie de son corps avait été épargnée de saignement – aucun ! Dans notre voyage à l’aéroport, je lui avais demandé de me raconter tout ce qui lui était arrivé. Elle me dit : « Quand je suis entré dans la maison et je me suis assis avec ma famille, ils ont commencé à me questionner à propos de ma robe et de l’homme qui m’accompagnait. Je les ai dit que j’ai embrassé l’Islam et j’ai épousé cet homme Musulman.

Ils ont dit : « Ce n’est pas possible ». Je leur ai dit : « Tout d’abord permettez-moi de vous raconter toute l’histoire depuis le début » et je les ai tout dit; depuis l’homme russe, et comment il a voulu me mener à l’indécence et vendre ma dignité. Ils répondirent : « Ecoutes. Si tu aurais été prise dans l’immoralité et aurais vendu ta dignité, cela aurait été meilleur pour nous que tu sois devenue Musulmane. Tu ne sortiras pas de cette maison à moins que tu deviennes un communiste orthodoxe ou un cadavre raide ! ». A ce moment même, ils m’ont capturé et m’ont lié, et ensuite ils sont venus te voir pour te battre. J’entendais quand ils te frappaient mais j’étais liée.

Puis, après que tu te sois enfui, mes frères m’ont enchaîné, et ont commencé à me fouetter. J’ai été exposé à des coups et à des moments d’agonie le soir jusqu’ au coucher. Le matin mes frères et mon père étaient au travail et ma mère restait à la maison. J’étais abandonné et isolé. Ma petite sœur de quinze ans s’amusait avec moi.

Ce divertissement était la seule consolation et répit que j’ai eu. Parfois je suis restée inconsciente. Ils me frappaient jusqu’à ce que je devienne inconsciente et m’endormais. Leur seule demande était que je renonce l’Islam, et j’ai refusé. Cela a duré ainsi jusqu’au moment où ma sœur, pendant ses railleries, me demanda : « Pourquoi quittes-tu ta religion et la religion de ta mère et de ton père? ». J’ai commencé à lui expliquer et à  la convaincre.Elle commença à comprendre et fut aussi très impressionnée. Sa vision s’est éclaircie et l’erreur dans lequel ils habitaient devint apparent. Elle a tout de suite dit : «La vérité est avec toi. Ceci est la bonne religion. Ceci est la religion que je dois suivre ». Elle m’a dit alors : « Ecoutes-moi, ma sœur, je t’aiderai ». Je lui ai dit : « Si tu veux m’aider, alors aides-moi à rencontrer mon mari ». Ma sœur  commença à regarder par les fenêtres supérieures et t’as vu marcher. Elle m’a dit : «  je vois un homme avec telles et telles caractéristiques », et elle a commencé à te décrire. Je lui ai dit : «  C’est mon mari. Si tu le vois, ouvre la porte pour que je puisse lui parler ». A ces mots, elle a ouvert la porte et je suis sorti. et je t’ai parlé.

Mais maintenant il y avait un problème ; j’étais enchaînée avec deux chaînes, et il y avait une troisième chaîne, qui était attachée à un pilier, pour que je me déplace dans un espace limité. Les clefs de cette chaîne étaient avec ma sœur. Le jour où je t’ai demandé de rester dans ta chambre jusqu’à ce que je vienne te rejoindre là-bas, eh bien le jour suivant, j’ai pu convaincre entièrement ma sœur et elle a embrassé l’Islam, et s’est résolu à faire un sacrifice plus grand que le mien. Elle était déterminée à m’aider à me sauver de la maison. Mais les clefs des deux chaînes étaient avec mon frère, et il était très strict sur ces clefs. Ce jour même, ma sœur  proposa un plan; elle prépara une bière très forte pour les gens de la maison et organisa une soirée. Ils ont donc bu et ils ont tellement bu qu’ils sont devenus totalement ivre et ont sombrés dans une sommeil profond. Elle a sorti alors les clefs de la poche de son frère et a ouvert les chaînes, et je suis venu à toi dans les dernières heures de la nuit ».  Je l’ai demandé : « Et ta sœur ? » Elle  dit:« j’ai conseillé ma sœur de ne pas annoncer son Islam, mais de le garder secret et de prier en secret, jusqu’à ce que nous puissions planifier quelque chose pour elle ». Nous avons voyagé sur le vol que nous avons réservé et nous sommes retournés au pays. J’ai emmené ma femme à l’hôpital et elle a été admise pour quelques jours pour le traitement des blessures provoquées par les coups. Fin