On a demandé à un homme de peindre un bateau.

On a demandé à un homme de peindre un bateau.
Il a apporté avec lui de la peinture et des pinceaux et a commencé à peindre. Lors de la peinture, il a réalisé qu’il y avait un trou dans le navire et a décidé de le réparer. Quand il a fini de peindre, il a reçu son argent et est parti. Le lendemain, le propriétaire du bateau est venu au peintre et lui a présenté un beau chèque beaucoup plus élevé que le paiement de la peinture. Le peintre a été surpris: Vous m’avez déjà payé pour peindre le bateau! Il a dit. Mais ce n’est pas pour le travail de peinture, c’est pour avoir réparé le trou dans le bateau. Ah! Mais c’était un petit service … Certainement il ne vaut pas la peine de me payer tellement une telle quantité pour quelque chose de si insignifiant.
Mon cher ami, vous ne comprenez pas. Quand je vous ai demandé de peindre le bateau, j’ai oublié de mentionner sur le trou. Quand le bateau s’est desséché mes enfants ont pris le bateau et sont allés sur un voyage de pêche. Ils ne savaient pas qu’il y avait un trou dans le bateau et je n’étais pas à la maison à ce moment-là. Imaginez ce qui a traversé mon esprit mais quand je les ai vus, je ne pouvais pas le croire. Puis j’ai trouvé que le trou dans le bateau avait été réparé par vous. Vous avez sauvé mes enfants. Qu’Allah vous bénisse.

LEÇON
– Réparer la fuite dans la vie de quelqu’un aujourd’hui, essuyer les larmes et aider quelqu’un que vous trouvez.
– Identifier et apprécier ceux qui réparent les petits trous dans votre vie aujourd’hui, parce que ces petits trous aurait pu conduire à quelque chose de grand et désastreux.

Je vous remercie tous d’être là pour quelqu’un, de réparer les petits trous dans leur vie. Qu’Allah vous bénisse et vous défende et à votre famille pour toujours!




Un sage a remarqué un groupe de personnes criant de colère les uns après les autres.

Un sage a remarqué un groupe de personnes criant de colère les uns après les autres.

Il se tourna vers ses disciples, a souri et a demandé :
– Savez-vous pourquoi les gens crient les uns sur les autres lorsqu’ils sont en colère ?

Les disciples y pensèrent pendant un moment et l’un d’eux dit:
– C’est parce que nous perdons notre calme que nous crions.
– Mais pourquoi criez vous quand l’autre personne est juste à côté de vous?, demanda le guide.
– Pourriez-vous tout aussi bien lui dire ce que vous avez à dire d’une manière plus douce?

Lorsqu’aucune des réponses des disciples n’était suffisamment satisfaisantes pour le sage, il a finalement expliqué:

– Quand deux personnes sont en colère l’une contre l’autre, leurs cœurs sont séparés par une grande distance. Pour couvrir cette distance, ils doivent crier, car sinon ils sont incapables de s’entendre l’un et l’autre. Plus ils sont en colère et plus ils auront besoin de crier fort pour s’entendre l’un et l’autre pour arriver à couvrir cette grande distance.

– Qu’est-ce qui se passe lorsque deux personnes s’aime?
Ils ne crient pas à l’autre, mais ils se parlent doucement parce que leurs cœurs sont très proches. La distance entre eux est soit inexistante, soit très faible.

Le sage continua…
– Quand ils s’aiment encore plus, que se produit-il ?
Ils ne se parlent pas, ils chuchotent et obtiennent encore plus de proximité et plus d’amour.
Enfin vient un moment où ils n’ont même plus besoin de chuchoter, ils se regardent seulement l’un et l’autre et se comprennent.

Puis il regarda ses disciples et leur dit :
– Ainsi quand vous discutez les uns avec les autres ne laissez pas vos cœurs s’éloigner. Ne dites pas les mots qui vous éloignent davantage, ou bien viendra un jour où la distance sera si grande que vous ne trouverez pas le chemin du retour…




J’ai aussi obtenu 470 …

koul

 

Un jour, un homme marchait et lu ceci écrit sur un mur :

‘Qoull hou wAllah hou ahad * ‘Il est Allah Unique
Allah ous samad *Allah, Le Seul a être imploré pour ce que nous désirons
Lam yalid wa lam yoû lad * Il n’a jamais engendré, n’a pas été engendré non plus
Walam yakoul lahoû koufouwan ahad .’ Et nul n’est égal à lui’

Il s’est assis et lu, tandis qu’un homme le regardait, il est venu à lui et à dit : “Sais-tu que tu as au moins obtenu 470 hasanattes rien qu’en lisant cette sourate ?”

“J’ai aussi obtenu 470 hasanattes juste pour l’avoir écrit ; car en lisant les sourates du Coran, une lettre rapporte 10 hasanattes, et si une personne lis grâce à toi cette Sourate du Coran, tu obtiendras aussi toutes ces hasannattes!! même toi (qui lit ce mail) tu as obtenu 470 hasanattes.

 

 




Histoire N°9: La douceur du Imâne

La douceur du Imâne

(histoire exclusivement réservée aux femmes).

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Quand l’Iman avec sa pureté immaculée pénètre les voies profondes du cœur, il crée un lien solide avec Allah, et Lui plaire devient le but ultime de la vie sur terre à telle point  qu’aucune force ou aucune autorité, ne peut dissuader une relation aussi solide. Ainsi, quand cette soumission est complète, la Force Divine entre en action et produit l’inconcevable. Tel était le cas de cette sœur russe qui a embrassé l’Islam et a découvert le vrai goût de la douceur de l’Iman. Ce qui va suivre est l’histoire stupéfiante de sa conversion à l’Islam et de ce qui s’en est suivi. Elle est relatée par le Cheikh Ibrahim Al-Faris. Nous devons nous dire: « Si elle peut le faire, pourquoi pas moi ? » 

Le Cheik raconte : Cette histoire, mes chers frères, est celle d’une femme russe – une femme russe ! Je ne parle pas de la femme d’ici, ou de n’importe quelle partie du monde islamique. Elle voyagea avec un groupe de femmes vers un état voisin des Emirats pour importer des marchandises. Ils étaient accompagnés d’un russe. Ils devaient acheter des équipements et appareils électriques et les faire entrer en Russie sous le prétexte d’un usage personnel afin d’être exempté de taxes excessives. L’homme d’affaires russe paierait les articles qui étaient en leur possession et les vendrait à un prix plus élevé. Les femmes devaient recevoir une petite portion du profit. Une telle chose est commune et pratiquée abondamment en raison du faible coût des produits dans les états de l’UAE.

Quand ils avaient atteint leur destination, l’homme russe présenta aux jeunes femmes un projet, qui était complètement différent de ce dont elles avaient consenti.

Il leur dit : « On est venu ici pour obtenir une grande quantité d’argent. Que pensez-vous de gagner plus de richesses ? »

Et il leur demanda d’utiliser leur corps pour gagner cette richesse qu’il faisait miroiter. Quiconque accepte l’affaire doit l’annoncer rapidement. Il pu convaincre beaucoup de jeunes femmes concernant son projet. Naturellement les dames furent convaincues ; et pourquoi pas ? Car elles n’avaient pas la force du « Imâne » pour les arrêter, ni la moralité décente pour les freiner. Une femme, cependant, ressentit qu’il n’était pas possible pour elle de s’adonner à une telle action.

L’homme ria et dit : « Dans ce pays vous serez perdu. Vous ne possédez rien sauf ce que vous portez sur vous maintenant ». Elle trancha sur sa situation et prépara rapidement un plan dans sa tête. Elle saisit son passeport et s’enfuya dans la rue. Elle n’avait rien avec elle sauf ce qu’elle portait comme vêtement sur son corps et son passeport.

Dehors, dans la rue, elle erra sans but. L’homme russe l’appela et cria : «  Si la route se ferme sur vous et que ça devienne difficile pour vous, vous pouvez venir me voir et ceci est mon adresse…. », mais la femme était déjà partie.

La personne relatant cette histoire raconte : « Je marchais dans la rue avec ma mère et mes sœurs quand soudain cette femme est venue précipitamment vers notre direction et dit : «  Je suis de Russie, et une telle chose m’est arrivée », et elle commença à raconter toute son histoire. « Tout ce dont j’ai besoin c’est juste une courte période afin que je puisse réfléchir sur ma situation avec ma famille dans mon pays ».

 À la fin de notre discussion, nous décidâmes d’accepter sa demande et nous l’amenâmes à la maison avec nous. Elle commença à entrer en contact avec sa famille, mais sans aucune réponse, étant donné que les lignes de communication de son pays n’étaient pas en bonne état. Néanmoins, elle continuait à tout moment d’essayer de contacter sa famille.

Bien sûre mes sœurs commencèrent à la traiter comme une sœur et la présenta l’Islam, mais elle détestait cette idée et l’ignorait. Elle refusait d’accepter, et n’était pas prête à discuter de l’Islam. La raison est qu’elle venait d’une famille orthodoxe qui déteste l’Islam et les Musulmans.

Un jour, je suis allé à la bibliothèque de « Da’wah » et demanda de l’aide au directeur de la bibliothèque. Le bibliothécaire raconte :

« L’homme prit quelques livres et s’en alla. Quelques temps plus tard, il revint mais cette fois accompagné de quatre femmes ; trois étaient couvertes avec un genre de hijab, c.-à-d. leurs visages et leurs mains étaient découverts, et la quatrième était partiellement couverte; ses cheveux et son visage étaient découverts.

L’homme dit : « Cette dame est Russe ».

Il rapporta tout ce qui s’est passé et dit : « je suis venu vous voir la semaine dernière et je vous ai demandé quelques livres et maintenant j’ai besoin d’autres livres et d’autres cassettes. Je l’ai proposé d’accepter l’Islam et elle a commencé à montrer un intérêt. Je l’ai promise que je l’épouserai si elle devenait Musulmane ».    

Le bibliothécaire continua : « je lui donna d’autres livres. Il les a pris et est revenu quelques jours après et m’annonça qu’elle a consenti à devenir Musulmane et voudrait témoigner son Islam. Quand elle déclara son Islam, je dis à l’homme qu’il y a un groupe de femmes qui enseignent le Qour’ane et elles sont connues pour leur bon niveau d’enseignement. »

Le bibliothécaire, continuant l’histoire dit : «Quelques temps après, l’homme est venu et me dit : «  je l’ai épousée et je suis maintenant satisfait et très heureux. Toute louange et toute gratitude à Allah. »

 La chose qui a soulevé le plus mon intérêt était que cette femme s’était couverte entièrement, pas comme ses sœurs et leur mère. Etrange ! Elle a adhéré complètement au hijab.  Je lui demanda poliment comment cela est arrivé, et il me relata un événement étrange. Il dit : « Dans le marché, ma femme (la russe) s’était adressée à une femme qui était couverte complètement.

Elle me demanda : «  Pourquoi s’est-elle couverte de cette façon ? Je suis sûr que cette femme a quelques défauts qu’elle veut dissimuler ».

 Le mari répondit en voulant défendre la notion islamique de l’honneur : «  Non, cette femme a porté le hijab qu’Allah a commandé à Ses serviteurs et prescrit par Son Rasoul. »

Ensuite, après avoir réfléchi quelques peu, elle m’a dit : «  Quand j’entre dans un complexe commercial, les regards des propriétaires se fixent sur mon visage. Je dois couvrir ce visage que j’ai. Il devrait être réservé à mon mari seulement. Donc, je ne sortirai pas de ce marché qu’après m’être couverte entièrement. » Elle insista que j’achète un hijab pour elle. Elle commença à le porter tout de suite ».

Le bibliothécaire dit que j’ai rencontré cet homme seulement après cinq ou six mois environ. Après l’avoir salué, je lui demanda : «  Où  étiez-vous? »

 Il dit : « Quelques raisons m’ont amené à m’absenter». Il continua en disant, « Après avoir épousé cette femme, son passeport devait être renouvelé dans son pays d’origine. Nous devions donc nous rendre en Russie. Nous avons acheté deux billets et sommes montés l’avion, avec ma femme dans son hijab complet.

 Je lui ai dit : « 0 Serviteur d’Allah ! Nous aurons des problèmes maintenant ».

Elle répondit : « 0 Khalid ! Maintenant vous voulez que j’obéisse à ces infidèles immoraux, qui mèneront vers l’enfer quand ils mourront, pour ce qu’ils sont et ce qu’ils font, et que je désobéisse à Allah? ! Je ne peux pas faire cela ». C’étaient ses propres mots !

« Nous sommes montés dans l’avion et les gens ont commencé à se moquer d’elle en russe. »

 Il continua : « je n’ai pas compris un mot de ce que les gens disaient, mais ma femme parfois souriait et de temps en temps riait et traduisait ce qu’ils disaient.  L’un disait : Regardez-la ! Elle a l’air de tel et tel et l’autre commentait, et un autre se moquait. Quand elle traduisait ce qu’ils disaient, c’était comme une flèche transperçant mon cœur sans être enlevée.

Elle disait : Ne soit pas vexé. Ceci est insignifiant en comparaison de ce que les Sahabah ont subis !

 

Après avoir échappée à la prostitution et s’être convertie à l’Islam dans un état de l’UAE, une femme russe se rend dans son pays natal avec son mari pour renouveler son passeport.

 …Quand nous avons atterri, elle m’a dit : « Nous n’irons pas à la résidence de ma famille. Ma famille s’est distinguée pour sa loyauté et son fanatisme pour sa religion. Nous louerons une chambre durant notre séjour et nous effectuerons toutes les procédures pour le passeport. Ensuite nous visiterons ma famille ».

Le lendemain nous sommes allés au bureau des passeports. Ma femme  présenta une photographie noire et blanche habillée d’un hijab ne révélant que son visage. Nous avons été envoyés d’un officier à un autre.

Chacun exigeait qu’elle présente une photographie de couleur exposant entièrement son visage, ses cheveux et son cou. Chaque officier disait : « Ce n’est pas possible pour moi de donner un passeport qu’en respectant ces conditions ». Finalement on nous a dit que nous devions voyager à Moscou et nous adresser à l’officier principal de l’immigration. Ma femme s’est tourné vers moi et m’a dit : « 0 Khalid, il faut que nous allions à Moscou ». Je répondis : « O fille sincère, 0 untel et untel…., je l’ai flattée, essayant de la convaincre : « Allah n’impose rien à l’âme qui soit au-dessus de ses moyens. Crains Allah à hauteur de tes capacités. Et en ce moment tu n’es pas contrainte par quiconque. Le passeport ne sera vu que par quelques personnes, ensuite tu peux le cacher dans ta maison jusqu’à ce qu’il expire, et sa durée est de six à sept années ».

Elle m’a dit : «  Non, ce n’est pas possible pour moi de m’exposer après avoir reconnu la religion d’Allah le Tout-puissant. Si tu ne veux pas voyager à Moscou, alors je voyagerai seule étant donné que le problème est très important ».  Nous sommes arrivés au bureau de l’officier principal du département de l’immigration à Moscou. Il regarda le passeport et la photographie et dit : « Qu’est-ce qui me prouve que vous êtes sur cette photo? » Il voulait qu’elle découvre son visage. Elle répondit : « Demander à une de vos femmes officiers ou votre secrétaire de venir vérifier, mais vous, vous ne pouvez pas le faire ». Il fut très embarrassé et  prit le passeport avec la photo et les verrouilla dans son tiroir : « Vous n’aurez pas de nouveau passeport ni l’ancien à moins que vous m’ameniez des photographies avec les spécifications exigées ». Nous avons essayé de le convaincre ; mais sans succès. J’ai essayé aussi de convaincre ma femme avec un verset du Qour’ane : « Allah n’impose rien à l’âme qui soit au-dessus de ses moyens », mais elle m’a répondu: « 0 Khalid, j’ai appris à la maison où on enseignait le Qour’ane : « Quiconque craint Allah, Il fera pour lui une issue et le pourvoira d’où il ne prévoit pas » Alors que nous discutions, l’officier principal de l’immigration nous expulsa de son bureau.

 Nous avons accompli notre salah d’Isha cette nuit là et nous prîmes notre souper. Je me préparais à me coucher et elle m’a dit : « 0 Khâlid, tu vas dormir? Dans cette situation tu vas essayer de dormir? Nous sommes dans une situation qui nécessite que nous nous tournions vers Allah. Viens et supplions Allah. »

Je me leva et m’engagea dans les prières autant qu’Allah me permit de le faire et je j’alla me coucher. Quant à elle, elle continua de prier. J’ouvrais de temps en temps mes yeux, et je la voyais dans le roukou, dans le sadjdah, dans le quiyâm, faisant dou’a ou entrain de pleurer, jusqu’ à l’heure du Fajr. « Réveille-toi ! » me dit-elle. « Allons au Bureau de l’Immigration ». Je la demandai d’un ton perplexe. « Avec quoi? Où sont les photos ?  Nous n’avons pas de photo ! » Elle m’a dit : « allons et essayons. Ne perd pas espoir en la pitié d’Allah et ne soit pas découragé de l’aide d’Allah ! ». Quand nous marchâmes à travers le Bureau de l’Immigration, immédiatement un des officiers appela son nom : «  Mme untel ? » Elle répondit : « Oui ? »  Il lui a dit : «  Prenez votre ancien passeport et remplissez les formulaires de demande pour un nouveau passeport, mais payer les frais en premier ».

Nous étions enchantés. Par Allah, s’il aurait dit que nous devions donner tout l’argent nous avions, nous le lui aurions donné. Nous avons pris le passeport, payé les frais et nous sommes retournés dans notre chambre d’hôtel. Ma femme m’a regardé et m’a dit : « Ne t’avais-je pas dis qu’Allah nous ouvrira un chemin. » Ces mots ont frappé mon cœur et ont fait un impact immense sur mon Imâne. Nous décidâmes maintenant de visiter sa famille…(à suivre)

Note : Il est autorisé à une femme de se découvrir totalement la tête afin de prendre des photos pour ses pièces d’identité ou son passeport lorsque la loi l’oblige.

 

… Quand nous atteignîmes l’endroit où habitait sa famille, on frappa à la porte. Un grand garçon, son frère, nous ouvra. Quand il vit sa sœur, il était heureux, mais aussi perplexe. Sa sœur était aussi heureuse de le voir ; mais il ne put contenir sa curiosité. Le visage était celui de sa sœur, mais la robe ne l’était pas. Toute vêtue de noir – toute couverte, sauf le visage ! Elle entra dans la maison souriante et embrassa son frère. Je suis entré après elle et me suis assis dans le salon.

La maison était celle d’une de famille de basse classe et très simple. On pouvait y voir les signes de la pauvreté. Je me suis assis seul pendant qu’elle pénétrait les pièces intérieures de la maison. Je pouvais les entendre parler, hommes et femmes, dans la langue russe, sans comprendre un mot, ni sachant ce qui se passait là dedans. Soudain leurs voix se sont élevées, les tons ont changé et les cris ont augmenté. J’ai senti qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas, mais j’étais incapable de me faire une idée de ce qui se passait car je ne comprenais pas la langue. Peu de temps après, trois jeunes hommes et un vieil homme se présentèrent à moi. J’ai pensé qu’ils étaient maintenant prêts à accueillir leur gendre, mais l’accueil s’est avéré être des gifles et des coups. Ils commencèrent à me battre. Quand je me suis retrouvé entre ces gens inhumains j’ai su que je pourrais mourir ici. J’ouvris précipitamment la porte et je m’enfuyais aussi vite que je pouvais alors qu’ils me poursuivaient. J’ai réussi à les semer. Arrivé en lieu sûr,  je me suis examiné et il y avait des signes de coups sur mon front, mes joues et mon nez. Ma bouche saignait et mes vêtements étaient déchirés. Je me suis dit. « Je suis maintenant en sûreté, mais quel est la situation de ma femme ? » Je ne cessais de  penser à elle. Sa pensée hantait mes esprits, « Est-ce qu’en ce moment elle est aussi entrain de subir ces gifles, ces coups, faisant face toute seule à ce que je viens de vivre? Je suis sûr qu’elle me quittera. Je suis sûr qu’elle renoncera à l’Islam ». Je suis resté dans ma pièce jusqu’ à l’aube. J’ai changé mes vêtements et je suis sorti  pour essayer de trouver une quelconque information.

J’ai observé leur maison de loin, essayant d’imaginer ce qui se passait à l’intérieur, mais la porte était fermée.

Des heures et des heures se sont écoulées pendant que j’observais en allant  et venant. J’ai fais la même chose le deuxième jour et le troisième jour j’ai perdu l’espoir et j’ai pensé que ma femme était morte. Elle a été assassinée. Mais, si elle était morte, alors au moins il aurait dû y avoir quelques mouvements dans la maison, des visites de condoléances aux parents !

Mais je n’ai rien vu. Au quatrième jour, après que les gens de la maison étaient allés à leurs travaux, la porte s’est ouverte, et ma femme apparu, regardant à droite et à gauche. Je n’ai jamais vu de ma vie une scène plus agréable que ce que j’observais maintenant malgré le fait que son visage étais rouge couvert de sang! Je me précipita vers elle et essaya de la dévisager. J’étais abattu et confondu. Je me suis senti malade. Sa couleur avait changé au rouge. Il y avait du sang sur son visage, sur ses bras, sur ses cuisses et sur ses jambes. Seulement un petit morceau de tissu recouvrait son corps. Ses pieds et ses mains étaient enchaînés et verrouillés derrière son dos. Je l’ai regardée et je me mis à pleurer. Je ne me contrôlais plus. Elle m’a dit : « 0 Khalid, écoute ! Premièrement, soit rassuré, je suis toujours Musulmane. Ce que je subis maintenant, ce n’est rien comparé à ce que les Sahabah et Tâbi’in ont endurés ensemble avec le Prophète  et les Messagers avant eux. Deuxièmement, je te demande, Khalid, que tu n’interfères pas entre moi et ma famille. Troisièmement, attends moi dans la chambre d’hôtel jusqu’ à ce que je te rejoigne là-bas, Insha-Allah, mais surtout augment tes dou’as et tes prières la nuit. Fais ta salah. » Je suis rentré à l’hôtel et j’y suis resté. Après trois jours, j’entendis quelqu’un frapper à la porte. Je me demandai : « Qui est-est ce ? Qui pourrait être à la porte ? »                Soudain j’entendis le son d’une voix très familière. Je n’avais jamais entendu une voix si douce, si agréable et si belle que celle-ci. C’était la voix de ma femme me disant : « Ouvres la porte, je suis untel ». J’ouvris la porte et le monde rayonna à mes yeux. Elle m’a dis : « Viens, partons maintenant ». « Maintenant ? ! » Je demandai, tout à fait étonné. « Oui », dit-elle. Nous sommes montés dans un taxi. Je l’ai demandé en russe, « L’aéroport ? » Elle dit : « Non ! Non ! Nous n’allons pas à l’aéroport. Nous allons à tel et tel village ». « Pourquoi ? Nous ne voulons pas nous sauver ? » Demandai-je. Elle répondit :« Non, si ma famille apprend mon évasion, elle essaiera de nous poursuivre à l’aéroport. Mais allons à un village, puis de là-bas à un autre village, ensuite un troisième, un quatrième, un cinquième, et après une ville avec un aéroport international ».  Nous avons réservé finalement nos billets et avons réservé une pièce jusqu’ à notre départ.  J’ai regardé ma femme, essayant de voir si une partie de son corps avait été épargnée de saignement – aucun ! Dans notre voyage à l’aéroport, je lui avais demandé de me raconter tout ce qui lui était arrivé. Elle me dit : « Quand je suis entré dans la maison et je me suis assis avec ma famille, ils ont commencé à me questionner à propos de ma robe et de l’homme qui m’accompagnait. Je les ai dit que j’ai embrassé l’Islam et j’ai épousé cet homme Musulman.

Ils ont dit : « Ce n’est pas possible ». Je leur ai dit : « Tout d’abord permettez-moi de vous raconter toute l’histoire depuis le début » et je les ai tout dit; depuis l’homme russe, et comment il a voulu me mener à l’indécence et vendre ma dignité. Ils répondirent : « Ecoutes. Si tu aurais été prise dans l’immoralité et aurais vendu ta dignité, cela aurait été meilleur pour nous que tu sois devenue Musulmane. Tu ne sortiras pas de cette maison à moins que tu deviennes un communiste orthodoxe ou un cadavre raide ! ». A ce moment même, ils m’ont capturé et m’ont lié, et ensuite ils sont venus te voir pour te battre. J’entendais quand ils te frappaient mais j’étais liée.

Puis, après que tu te sois enfui, mes frères m’ont enchaîné, et ont commencé à me fouetter. J’ai été exposé à des coups et à des moments d’agonie le soir jusqu’ au coucher. Le matin mes frères et mon père étaient au travail et ma mère restait à la maison. J’étais abandonné et isolé. Ma petite sœur de quinze ans s’amusait avec moi.

Ce divertissement était la seule consolation et répit que j’ai eu. Parfois je suis restée inconsciente. Ils me frappaient jusqu’à ce que je devienne inconsciente et m’endormais. Leur seule demande était que je renonce l’Islam, et j’ai refusé. Cela a duré ainsi jusqu’au moment où ma sœur, pendant ses railleries, me demanda : « Pourquoi quittes-tu ta religion et la religion de ta mère et de ton père? ». J’ai commencé à lui expliquer et à  la convaincre.Elle commença à comprendre et fut aussi très impressionnée. Sa vision s’est éclaircie et l’erreur dans lequel ils habitaient devint apparent. Elle a tout de suite dit : «La vérité est avec toi. Ceci est la bonne religion. Ceci est la religion que je dois suivre ». Elle m’a dit alors : « Ecoutes-moi, ma sœur, je t’aiderai ». Je lui ai dit : « Si tu veux m’aider, alors aides-moi à rencontrer mon mari ». Ma sœur  commença à regarder par les fenêtres supérieures et t’as vu marcher. Elle m’a dit : «  je vois un homme avec telles et telles caractéristiques », et elle a commencé à te décrire. Je lui ai dit : «  C’est mon mari. Si tu le vois, ouvre la porte pour que je puisse lui parler ». A ces mots, elle a ouvert la porte et je suis sorti. et je t’ai parlé.

Mais maintenant il y avait un problème ; j’étais enchaînée avec deux chaînes, et il y avait une troisième chaîne, qui était attachée à un pilier, pour que je me déplace dans un espace limité. Les clefs de cette chaîne étaient avec ma sœur. Le jour où je t’ai demandé de rester dans ta chambre jusqu’à ce que je vienne te rejoindre là-bas, eh bien le jour suivant, j’ai pu convaincre entièrement ma sœur et elle a embrassé l’Islam, et s’est résolu à faire un sacrifice plus grand que le mien. Elle était déterminée à m’aider à me sauver de la maison. Mais les clefs des deux chaînes étaient avec mon frère, et il était très strict sur ces clefs.

Ce jour même, ma sœur  proposa un plan; elle prépara une bière très forte pour les gens de la maison et organisa une soirée. Ils ont donc bu et ils ont tellement bu qu’ils sont devenus totalement ivre et ont sombrés dans une sommeil profond. Elle a sorti alors les clefs de la poche de son frère et a ouvert les chaînes, et je suis venu à toi dans les dernières heures de la nuit ».  Je l’ai demandé : « Et ta sœur ? » Elle  dit:« j’ai conseillé ma sœur de ne pas annoncer son Islam, mais de le garder secret et de prier en secret, jusqu’à ce que nous puissions planifier quelque chose pour elle ». Nous avons voyagé sur le vol que nous avons réservé et nous sommes retournés au pays. J’ai emmené ma femme à l’hôpital et elle a été admise pour quelques jours pour le traitement des blessures provoquées par les coups. Fin

 




Histoire N°8: La Pensée Latérale

La Pensée Latérale

 caillou

 Des années de cela, il y avait dans un petit village, un fermier qui a eu le malheur d’avoir emprunté une grosse somme d’argent au prêteur d’argent du village. Le prêteur, qui était vieil et laid, désirait la belle fille du fermier. Donc il lui proposa un marché : il pardonnerait la dette du fermier s’il pouvait épouser sa fille. Le fermier et sa fille furent horrifiés par cette proposition.

Le prêteur astucieux suggéra qu’ils laissent le destin décider du sort. Il les proposa de mettre un caillou noir et un caillou blanc dans un sac d’argent vide. Ensuite la fille devra choisir un caillou du sac.

 1. Si elle choisi le caillou noir, elle deviendrait sa femme et la dette de son père sera pardonnée.

2. Si elle  choisi le caillou blanc, il n’est pas nécessaire qu’elle l’épouse et la dette de son père sera toujours pardonnée.

3. Mais si elle refuse de choisir un caillou, son père sera jeté en prison.

Debout sur le chemin caillouteux du champ du fermier, le vieil homme se penche pour  prendre deux cailloux. En les ramassant, la fille, vigilante, remarqua qu’il avait pris deux cailloux noirs et les a mis dans le sac. Il demanda alors à la fille de choisir un caillou du sac.

 

 Maintenant, imaginez que vous étiez dans ce champ ce jour là.

Qu’auriez-vous fait si vous étiez la fille ?

Si vous deviez la conseiller, que lui auriez-vous dit?


Une analyse logique produirait trois possibilités :

  1. La fille doit refuser de prendre un caillou.

2. La fille doit montrer qu’il y avait deux cailloux noirs dans le sac et dénoncer le prêteur comme un tricheur.

3. La fille doit choisir un caillou noir et se sacrifier afin d’épargner son père de sa dette et son emprisonnement.

 

Prenez un moment pour réfléchir sur cette histoire. Les experts l’utilisent pour faire apprécier les gens la différence entre la pensée latérale et logique. Le dilemme de la fille ne peut pas être résolu avec la pensée logique traditionnelle. Pensez aux conséquences si elle choisi n’importe quel des choix logiques. Que recommanderiez-vous à la fille de faire?

Ne regarder pas la réponse maintenant, donnez votre conseille après avoir réfléchi quelques minutes pour une solution latérale…

 Bien, voyez maintenant ce qu’elle a fait. Elle a mis sa main dans le sac d’argent et tira un caillou. Sans le regarder, elle tâtonna et le laissa tomber sur le chemin éparpillé de cailloux. Le caillou tiré fut perdu parmi tous les autres cailloux.

« Oh, comme je suis maladroite ! Dit-elle.

« Mais ce n’est pas grave, si vous examinez le sac pour voir quel caillou est resté, vous pourrez dire quel caillou j’ai choisi. »

Puisque le caillou restant était noir, ils devaient supposer qu’elle avait choisi le blanc. Et puisque le prêteur n’a pas osé admettre sa mauvaise foi, la fille a changé ce qui semblait une situation impossible en une situation extrêmement avantageuse.

 
LA MORALE DE L’HISTOIRE :

 La plupart des problèmes complexes ont une solution que vous pouvez trouver si vous creusez votre esprit. Si la logique ne travaille pas, essayez la pensée latérale. La pensée latérale est un exercice créatif. Pratiquez-la tous les jours.

« Le secret du succès est de savoir ce que les autres ne savent pas. »




Hisoire N°7 : Le panier de charbon

Le panier de charbon

Pourquoi lisons-nous le Coran, même si nous ne comprenons pas la langue arabe ?
Petite sœur, petit frère, lis cette belle histoire !

Un vieux Musulman habitait une ferme avec son petit-fils. Tous les matins, le petit-fils voyait son grand-père lire le Coran.
Il l’aimait tellement qu’il voulait lui ressembler et ne cessait de l’imiter.

Un jour il lui demanda : « Oh mon Grand père ! J’essaie de lire le Coran comme toi mais je ne le comprends pas. A quoi bon me servira-t-il de le lire ? »

Le grand-père, occupé à mettre du charbon dans le poèle, s’arrêta et lui dit :

-  « Prends ce panier de charbon et amène-moi un panier d’eau de la rivière ! »

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Le garçon obéit, mais toute l’eau s’écoula avant qu’il ne soit arrivé à la maison. Le grand-père rit et lui dit :

-  « Tu devrais aller un peu plus vite la prochaine fois. »
Et il le renvoya à la rivière avec le panier pour réessayer.

Cette fois, le garçon alla très vite, mais, une fois encore, le panier se vida avant qu’il n’atteigne la maison.

Hors d’haleine, il dit à son grand-père qu’il était impossible de transporter de l’eau dans un panier tressé et alla chercher un seau.

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Le vieil homme refusa :
-  « Je ne veux pas d’un seau d’eau mais je veux un panier d’eau. Tu ne vas pas assez vite ! » et il sortit pour regarder le garçon essayer encore une fois.

Le garçon savait que la tâche était impossible, mais il voulait montrer à son grand-père que, même s’il courait aussi vite qu’il le pouvait, l’eau s’échappera quand-même du panier.

Il plongea de nouveau le panier dans la rivière, coura très vite, et, lorsqu’il atteignit la maison… le panier était encore vide !!!!
Essoufflé, il dit : « Tu vois Grand père, c’est inutile ! »

Le vieil homme lui répondit : « Regarde le panier, mon garçon : au départ, il était très sale à cause du charbon qu’il transportait ; au fur et à mesure de ses passages dans l’eau, il est devenu très propre, à l’intérieur comme à l’extérieur.

C’est ce qui se passe lorsque nous lisons le Coran.

Nous nettoyons notre coeur en le lisant ; et même si nous ne parvenons pas à tout comprendre, lorsque nous y prêtons attention et respect, nous changeons notre intérieur et notre extérieur. »




Histoire N°6 : Ma mère n’avait qu’un seul œil

Aimez vos parents ! Une histoire bouleversante.

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 N’oubliez pas de prendre un mouchoir avant de lire cette histoire, car vous allez peut-être pleurer.

« Ma mère n’avait qu’un seul œil, elle était borgne. Je la détestais. Elle était embarrassante.

Elle cuisinait pour des étudiants et des enseignants pour subvenir aux besoins de la famille.

Et puis, il y a eu ce jour, alors que j’étais à l’école primaire, et ma mère vint me voir pour me rendre visite.

J’étais tellement embarrassé. Comment pouvait-elle me faire une telle chose ?

Je l’ignora, la lança un regard de haine et m’enfuya.

Le jour suivant à l’école, un de mes camarades de classe me dit: « Eeeh ! Ta mère n’a qu’un œil !»

Je voulais m’enterrer. Je voulais aussi qu’elle disparaisse de ma vie.

Alors, je la réprimanda et dis :

« si tu veux faire de moi une moquerie, alors pourquoi t’ailles pas mourir ? »

Ma mère resta silencieuse.

Je ne me suis même pas retenu une seconde pour penser ce que j’ai dis, car j’étais plein de colère.

J’étais aveugle et insensible à ses sentiments.

Je voulais partir de cette maison.

Alors j’étudia très dure, et gagna ma chance d’aller à Singapour pour étudier.

Ensuite, je me mariai.

 J’achetai une maison avec mes propres moyens.

J’eus des enfants et je fus heureux dans ma vie.

Puis, un jour, ma mère vint  me rendre visite.

Elle ne m’avait pas vu depuis des années, et elle n’avait jamais vu ses petits-enfants.

Quant elle arriva devant la porte d’entrée, mes enfants se mirent à rire d’elle.

Je hurla : « comment oses-tu venir à ma maison et effrayer mes enfants ?

Va-t-en d’ici maintenant. »

Elle répondit doucement en s’excusant :

«O ! Je suis désolé. Je me suis peut-être trompé d’adresse. »

Et elle disparut de ma vue.

Un jour, une lettre concernant une réunion scolaire de grande importance me parvint.

Je mentis à ma femme que j’allais à un voyage d’affaires.

Après la réunion, j’allai la rendre visite à la vieille baraque,  juste par curiosité.

Je la découvris allongée sur le lit.

Des voisins m’informèrent qu’elle était décédée.

Je la voyais devant moi et je n’ai pas laissé échapper une seule larme de mes yeux.

Ils me donnèrent une lettre qui se trouvait dans la maison et qu’elle voulait me remettre :

« Mon cher fils, je pense à toi tout le temps.

Je suis désolé d’être venu à Singapour et d’avoir effrayé tes enfants.

J’étais tellement content quand j’ai entendu que tu viendrais pour la réunion.

Mais je ne pourrais peut-être pas me lever de mon lit pour venir te voir.

Je suis désolé d’avoir été un embarras constant pour toi quand tu as grandis.

Tu vois…

Quand tu étais un petit enfant, tu as fait un accident et tu as perdu ton œil.

Etant ta mère, je ne pouvais pas rester debout et te voir grandir devant moi avec un seul œil.

Alors…

… je tai donné la mienne…

J’étais tellement content de mon fils qui pouvait voir tout un nouveau monde pour moi, à ma place, avec cet œil….

…Avec mon amour…

… Ta mère… »

(Cette histoire est réelle et la personne concernée est vivante aujourd’hui. Son témoignage détaillé dans une radio fut tellement poignant qu’elle fit pleurer bon nombre d’auditeurs. Elle regrette tellement son attitude qu’elle demande à expier ses fautes en ce monde afin de se faire pardonner. Malheureusement, il ne peut que faire pleurer l’œil de sa mère).

O ! Cher Lecteur. Sache que si tu ne porte pas l’œil de ta mère, tu portes néanmoins son sang et sa chaire. Tu ne pourras jamais reconnaître à sa juste valeur l’amour qu’elle a pour toi. Tu ne pourras jamais la récompenser de la souffrance et du sacrifice que tu l’as infligé jour et nuit, en pesant dans ses entrailles fragiles quand elle t’a porté, en déchirant sa chaire à vif pour te mettre au monde, en suçant son sang et la force de sa vie pour t’allaiter, et en la faisant transpirer d’efforts et d’inquiétude pour t’élever.

O ! Cher Lecteur ! N’augmente pas sa peine et sa tristesse en la privant de respect et d’amour. Ne blesse jamais son cœur si doux, car son cœur est le tien. Et il ne bat que pour toi.

On demanda au Prophète (sallallahou alaihi wasallam) : «Ô Messager  d’Allah, qu’elle est la personne la plus digne de ma bonne compagnie ? »

Il (sallallahou alaihi wasallam) répondit : « Ta mère. »

L’homme reprit : « Qui d’autre, ensuite ? »

Il (sallallahou alaihi wasallam) répondit : «Ta mére. »

L’homme répéta : « Qui d’autre, ensuite ? »

Il (sallallahou alaihi wasallam) répondit de nouveaux : «Ta mère. »

« Ensuite ? » demanda l’homme une dernière fois.

Il (sallallahou alaihi wasallam) répondit alors : « Ton père. » (Mouslim)

Et si tu as compris cet amour d’une mère pour son fils, sache que l’amour d’Allah pour ses serviteurs est beaucoup plus grand.

Oumar (radhia Allâhou anhou) rapporte qu’une fois alors que nous avions des captives, on a vu des femmes captives prendre des bébés, les serrer contre elles et les nourrir. Le Prophète sallallahou alaihi wasallam nous demanda : « Pensez-vous que cette femme jettera son bébé dans le feu ? » Les compagnons répondirent : « non ».

Alors, le Prophète sallallahou alaihi wasallam dit : « Allah est plus miséricordieux envers ses adorateurs que cette femme envers son fils. »

 Abou Horeirah (radhia Allâhou anhou)  rapporte : « Allah a 100 miséricorde. Il a distribué une miséricorde à toute la création. Avec cette miséricorde, il s’aiment, ils se lient, les animaux s’attachent à leurs progénitures, et les 99 miséricordes restantes, il les a gardés pour ses serviteurs le jour du Quiyâmah. »

Qu’Allah nous accorde le respect de nos parents et fasse qu’ils soient le moyen de notre Paradis dans l’au-delà.




Histoire N°5 : Pour 10 euros

10e

Un homme arrive un soir chez lui fatigué après une dure journée de travail, pour trouver son petit garçon de 5 ans assis sur les marches du perron.

– Papa, est-ce que je peux te poser une question ?
– Bien sûr !
– Combien gagnes-tu de l’heure ?
…- Mais ça ne te regarde pas fiston !
– Je veux juste savoir. Je t’en prie, dis-le moi !
– Bon, si tu veux absolument savoir : 35 €uros de l’heure.

Le petit garçon s’en retourne avec un air triste.

Il revient vers son père et lui demande :
– Papa, pourrais-tu me prêter 10 euros ?
– Bon, c’est pour ça que tu voulais savoir. Pour m’emprunter de l’argent ? Pour m’emprunter de l’argent !!!! Va dans ta chambre et couches-toi. J’ai eu une journée éprouvante, je suis fatigué et je n’ai pas le goût de me faire importuner avec des pareilles stupidités !

Une heure plus tard, le père qui avait eu le temps de compresser un peu se demande s’il n’avait pas réagi trop fort à la demande de son fils.

Peut-être qu’il voulait s’acheter quelque chose d’important… Il décide donc d’aller dans la chambre du petit :
– Tu dors ?
– Non, papa !
– Ecoute, j’ai réfléchi et voici les 10 euros que tu m ’as demandés.
– Oh ! Merci papa !

Le petit gars fouille sous son oreiller et en sort 25 euros. Le père voyant l’argent devient tout irrité :
-Mais pourquoi tu voulais 10 euros ? Tu as déjà 25 euros !! Qu’est ce que tu veux faire avec cet argent ?

-C’est que… il m’en manquait. Mais maintenant, j’en ai juste assez !! Papa, est-ce que je pourrais t’acheter une heure de ton temps ? Demain soir, rentre à la maison plus tôt.

J’aimerais jouer avec toi…

Prenez toujours le temps de vous rapprocher de ceux que vous aimez !




Histoire N°4 : A un Homme qui s’est engagé toute sa vie …

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A un Homme qui s’est engagé toute sa vie

pour l’Islam, pour cette communauté et sa réforme

on était venu lui demandez quelle était sa motivation,

il répondit :

Si je devais travailler pour cette communauté,

j’aurais arrêté depuis longtemps

mais je travaille pour Allah (Dieu)et pour Allah on ne s’arrête jamais.




Histoire N°3 : Un agent de police …

Un agent de police

 accident

Un agent de police vivant dans un pays musulman a écrit la lettre qui va suivre à un Cheikh. Cette lettre décrit les événements qui ont mené à son retour à Allah…:

Les accidents et victimes de la route faisaient partie de mon quotidien au travail, mais un jour un incident différent s’est produit.

Mon partenaire et moi nous étions garés sur la bande d’arrêt de l’autoroute et avions commencé à discuter. Mais en une fraction de seconde, tout a changé lorsque nous avons entendu le bruit horrible de corps et de métal fusionner. Nous nous sommes aussitôt retourné pour voir ce qui venait de se passer : une collision de front, résultat d’un véhicule qui venait de glisser sur la route en plein milieu de la circulation.

Impossible de vous décrire le carnage. Deux jeunes hommes étaient étendus dans la première voiture, tous les deux se trouvaient dans un état critique. Avec précaution nous les avons portés puis éloignés de la voiture avant de les reposer au sol.
Nous sommes très vite repartis pour secourir le conducteur de la deuxième voiture. Mais il était mort. Nous sommes alors retournés vers les deux jeunes hommes couchés côte à côte sur le trottoir.

Mon partenaire commença alors à leur réciter la Chahadah. “Dites: La iIaha illAllah, La iIaha illAllah…”    … mais leurs langues refusèrent de témoigner. Ils commencèrent plutôt à murmurer, comme sous hypnose, les paroles d’une chanson. J’étais horrifié. Mais mon partenaire, qui avait de l’expérience, continua à leur répéter son instruction.

J’étais debout et j’observais, sans faire le moindre mouvement, le regard fermé. De toute ma vie jamais je n’avais vu pareille chose. En fait, je n’avais jamais vu quelqu’un mourir devant moi, et encore moins d’une façon aussi satanique.

Mon partenaire continuait à leur dire de réciter la Chahadah mais cela ne servait à rien. Le murmure de leur chanson finit par prendre fin, laissant lentement place au silence. Le premier se tus, puis ce fut au tour du deuxième. Pas le moindre mouvement. Ils étaient morts.

Nous les avons alors emmenés jusqu’à notre voiture de patrouille, mon partenaire ne me dit pas un mot. Nous n’échangeâmes pas même un soupir sur le trajet transportant les cadavres à l’hôpital le plus proche …

L’officier de police retomba de nouveau dans la routine, raconte-t-il, et commença à s’éloigner du chemin d’Allah. Mais un autre événement particulier eut lieu dans sa vie et scella cette fois-ci son retour à Allah. Il poursuit ainsi son récit :
Quel drôle de monde. Après quelque temps, environ six mois, un accident étrange eut lieu. Un jeune homme conduisait normalement sur la route, mais dans un des tunnels menant à la ville, il fut mutilé à cause d’un pneu crevé.

Il s’était garé sur le côté dans le tunnel et était sorti chercher une roue de secours à l’arrière du véhicule. Le bruit sifflant d’une voiture roulant à toute vitesse arrivait derrière. Une seconde après, elle entrait en collision avec la voiture stationnée, le jeune homme se trouvant entre les deux véhicules. Il tomba au sol gravement blessé.

Je me précipitai alors sur les lieux, accompagné d’un autre partenaire différent de celui de l’accident précédemment mentionné. Nous transportâmes ensemble le corps du jeune homme jusqu’à notre voiture de patrouille et téléphonâmes à l’hôpital pour qu’ils se tiennent prêts pour son arrivée.

C’était un jeune adulte dans la fleur de l’âge. On devinait qu’il était religieux par son apparence. On l’entendait chuchoter des paroles en le portant, mais dans notre hâte, nous n’avions pas prêté attention à ce qu’il disait.

Cependant, lorsque nous l’avons placé sur le dos dans la voiture de patrouille nous avons fini par comprendre ce qu’il disait. Malgré la douleur, son coeur récitait le Coran ! Il était tellement absorbé dans sa récitation.. Soubhan Allah, nul n’aurait pu croire que cette personne souffrait de douleurs atroces.

Trempés de sang, ses vêtements avaient viré au rouge cramoisi, ses os avaient certainement éclatés en plusieurs endroits. Pour dire la vérité, il avait le regard fixe de celui qui venait de voir la mort.

Il continuait à réciter de sa voix unique et tendre. Récitant chaque verset dans un rythme posé. De toute ma vie, je n’avais jamais entendu une telle récitation. Je me dis alors, je vais.. je vais lui dire de réciter la Chahadah tout comme l’avait fait mon ami; surtout maintenant que j’avais appris de ma précédente expérience.

Mon partenaire et moi écoutions attentivement cette voix douce. J’en eus des frissons dans le dos et le haut du bras, j’en avais vraiment la chair de poule.
Soudain, il cessa sa récitation. Je le regardai silencieusement lorsqu’il leva légèrement la main. Il avait l’index pointé vers les cieux, récitant la Chahadah (La ilaha illa Allah). Puis… sa tête retomba. Et plus rien.

Je sautai alors sur le siège arrière pour sentir son pouls sur sa main, son coeur, et sa respiration. Il était mort !

Je ne pouvais cesser de le regarder. Je laissai couler une larme mais honteux je la cachai aussitôt. Je me retournai vers mon partenaire et lui dit que la vie du garçon s’était arrêtée là – il a éclata alors en sanglots. En voyant cet homme pleurer ainsi devant moi, je n’ai pas pu me contrôler et mon partenaire disparut alors de ma vue du fait de mes propres larmes. La voiture de patrouille elle-même était à peine visible du fait de l’émotion que j’éprouvais.

Nous arrivâmes à l’hôpital. Tout en traversant les couloirs avec précipitation, nous racontâmes à tous les médecins, les infirmières, et les personnes présentes ce qui était arrivé. Tant de personnes furent touchées par notre récit, certains en restèrent immobiles et muets, les yeux pleins de larmes.

Aucun d’eux ne voulut quitter le jeune garçon avant de s’assurer de l’heure et du lieu de son enterrement.

Un membre du personnel de l’hôpital téléphona à son domicile. Son frère répondit et fut informé de l’accident.

Voici ce que son frère nous raconta à son sujet : Il avait pour habitude de sortir tous les lundis visiter son unique grand-mère qui habitait en dehors de la ville. Chaque fois qu’il lui rendait visite il prenait soin de passer du temps avec les enfants pauvres qui erraient dans les rues et les orphelins.

Le village le connaissait bien – il était pour eux celui qui leur apportait des livres et des k7 sur l’Islam. Son Mazda poussiéreux était toujours plein de riz et de sucre et même des sucreries ; jamais il n’oubliait d’apporter des sucreries aux familles qui étaient dans le besoin.

Personne ne pouvait le décourager de prendre le long voyage qui conduisait jusqu’à ce village. Il répondait toujours poliment que ce long trajet lui permettait de revoir le Coran et d’écouter des cassettes de lectures islamiques.

Et… et que grâce à chaque étape conduisant à la ville il espérait trouver une récompense auprès d’Allah…