FLASH ISLAM N°16

FLASH ISLAM     N°16

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HADITH, PAROLES ET TRADITIONS DU PROPHETE MOUHAMMAD

« Le bâillement vient du diable : lorsque l’un de vous a envie de bâiller, qu’il se retienne dans la mesure où il le peut, car si l’un de vous dit : « Aah ! » (en bâillant), le diable rit.» (Al Boukhâri)


DOU’A LORSQU’ON A UN EXCES DE COLERE :

أَعُوْذُ بِااللهِ مِنَ الشَيْطَانِ الّرَجِيْم  

A’ouzo billâhi minash shaïtânir radjîm

« Je cherche refuge auprès de Dieu contre Satan le maudit ».

NOMS MUSULMANS :

GARCONS :

Zaky : pur, vertueux,juste,intègre.

Safwâne: pur, limpide, lisse.

Iyâs: pluriel de Aws. Iyâs Ibn Mou’adh : premier Médinois converti à l’Islam.

 

FILLES : — Wafiyyah: toujours fidèle à ses engagements.

Joude : générosité, largesse, ; pluie , ondée.

Moujâba : exaucé. Moujâb : un des noms du Prophète (Sallallahou Alayhi wassallam).

 

UNE SAGESSE :  Les hommes sont ennemis de tout ce qu’ils ignorent. (Ali Ibn Abi Tâlib)

 

UN SOURIRE :

Une nuit 4 étudiants de Master en Sciences de Gestion (MBA) se sont amusés jusqu’à la dernière nuit des examens et n’ont pas étudié pour l’examen qui était prévu le lendemain.

Dans la matinée ils organisèrent un plan. Ils se sont salis les vêtements et le corps de façon bizarre avec de la graisse et de la boue.

Ils se présentèrent alors au Doyen en disant qu’ils avaient assisté à un mariage la veille et sur leur chemin du retour un pneu de leur voiture a éclaté et qu’ils ont eu à pousser la voiture toute la nuit et qu’ainsi ils n’étaient pas en condition de passer l’examen.

Le doyen était une personne juste et sage et il leur dit qu’ils pouvaient passer à nouveau l’examen après 3 jours. Ils promirent qu’ils seront prêts.

Au troisième jour, ils se présentèrent pour l’examen. Le doyen leur dit qu’une condition spéciale stipule que tous les quatre doivent s’asseoir dans des salles de classe séparées pour le test. Ils consentirent étant donné qu’ils avaient bien préparé l’examen durant les trois jours.

Le test consistait de 2 questions avec un total de 100 points.

Q. 1 : Ecrivez votre nom —-. – (2 points)      Q. 2 : Quel pneu a éclaté ? – (98 points)

 

IL APPRECIAIT LES BIENFAITS D’ALLAH :

Maulana Asghar Houssain (ra), connu de beaucoup comme Hazrat Mian, était parmi ces enseignants de Daroul Ouloum Deoband (www.darululoom-deoband.com) qui se préservaient de la célébrité et de la renommée.

Il a dépensé sa vie entière au service du Dîne en tant qu’enseignant des sciences islamiques et des milliers d’étudiants ont profités de sa connaissance et de sa grande piété.

Aujourd’hui, il n’y a peut être pas dans le sous-continent indien un savant connu qui ne soit son étudiant directement ou indirectement. Il a laissé derrière lui d’innombrables livres, sur des sujets uniques et dans une langue florissante qu’on retrouve rarement même dans les écrits d’il y a un siècle. Malgré sa position élevée dans la connaissance et la piété, sa simplicité et son humilité étaient telles que  celui qui le voyait ne pouvait pas s’imaginer qu’il était un homme d’un statut aussi élevé. Il habitait dans un petit quartier de Deoband (dans la province indienne de Saharanpur) et sa hutte était faite de boue. Chaque année quand la saison des moissons arrivait, différentes parties de sa hutte s’effondraient et, ensuite, beaucoup de temps et d’argent étaient dépensés pour les réparations. Mon révéré père Hazrat Moufti Mouhammad Shafi` (ra) était un étudiant particulier de Hazrat Mian qui était très amical avec lui.

Un jour mon révéré père lui dit : « Vous devez réparer votre hutte chaque année et, en raison de cela, vous subissez beaucoup de difficultés et vous dépensez beaucoup de temps et d’argent. Si vous le reconstruisiez avec des briques, vous serez soulagé de ces tribulations constantes ». Hazrat Mian (ra) avait le sens de l’humour. En entendant la suggestion de mon père, il le loua extrêmement et l’applaudi en s’écriant, « Excellent ! Moufti Sahab, excellent ! Voilà une suggestion logique ! J’ai habité presque toute ma vie entière dans cette hutte mais une telle pensée n’est jamais venue à mon esprit ».

Mon père dit : «Hazrat Mian (ra) répéta cette exclamation tellement de fois que je me suis senti profondément gêné. Finalement, j’ai dit : « Hazrat, mon intention était seulement de découvrir la sagesse derrière votre volonté de ne pas reconstruire – bien que vous ayez les moyens financiers —la hutte avec des briques. Donc, au lieu de m’embarrasser encore plus, s’il vous plaît, dites moi la véritable raison derrière cela ».

Au début Hazrat Mian essaya d’éviter de répondre à la question. Mais quand mon père ne cessa d’insister, Hazrat Mian pris sa main et marcha jusqu’à la porte d’entrée de sa hutte et dit :

« Regardez ! Regardez de part et d’autre de cette allée. Pouvez-vous voir de huttes construites de briques d’un bout de l’allée à l’autre ?  »

Mon père répondit négativement. Hazrat Mian dit : « Dites-moi, quand toutes les huttes de mes voisins sont faites de boue, comment me conviendrait-il d’habiter dans une hutte construite de briques ? Je n’ai pas les moyens financiers pour reconstruire toutes leurs huttes avec des briques. La raison pourquoi je ne reconstruis pas ma hutte avec des briques est parce que je me sens incommodé à l’idée d’être distinct de tous mes voisins ».

Tel était Hazrat Mian. J’ai relaté cet incident comme une courte introduction à son tempérament et à sa situation et, ainsi, le coté unique de son caractère pourra être apprécié. Ce caractère unique est — surtout à notre époque matérialiste — quelque chose qui dépasse notre imagination. J’avais l’intention de relater en fait un autre incident….

( Moufti Mouhammad Taqui Outhmâni )

«La richesse diminue quand on la dépense tandis que la science croit quand on la répand »

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Mft Louqman A.S. I.