FLASH ISLAM N°20

                          Août             Cha’baan 1428

 
FLASH ISLAM      N°20

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HADITH, PAROLES ET TRADITIONS DU PROPHETE MOUHAMMAD 

 « Tout ce qui atteint le Musulman, épuisement, maladies, chagrins, douleurs, souffrances, angoisses, même une simple piqûre d’épine lui  vaut de la part de Dieu la rémission d’une partie de ses péchés.» (Boukhâri)

                                                                                                

DOU’A POUR SE PREPARER POUR LE RAMADAN :

الَلَّهُمّ سَلِّمْنِيْ لِرَمَضَانَ وَ سَلِّمْ رَمَضَانَ لِيْ وَ سَلِّمْهُ لِيْ مُتَقَبَّلاً

Allâhoumma sallimni li ramadâna wa sallim ramadâna li wa sallimhou li moutakabbala. 

« O Allah ! Protège moi pour le Ramadâne (des maladies qui m’empêcheraient de jeûner), rend le Ramadâne clair pour moi (l’observance de la lune afin de ne pas manquer à mon obligation), et préserve-moi des péchés durant ce mois afin que mes actions soient acceptées».

NOMS MUSULMANS :  

GARCONS : — Wâjid : qui trouve ce qu’il désire, qui rencontre son Seigneur et trouve l’extase.

Wajdi: même sens que ci-dessus.

Wijdâne: conscience, émotion, sentiment.

FILLES :          — Wâjida : voir précédent.

Wajdiyyah: voir précédent.

Wijdâne : voir précédent.

 
UN SOURIRE :
Un couple vient de commencer leur cours prénataux et comme activité l’instructeur demande au mari de porter un sac du sable – pour lui donner une idée comme de ce qu’est d’être enceinte. Le mari se met debout et en gesticulant dit : «

Ce n’est pas si difficile que ça ! »

L’instructeur laisse alors tomber un stylo et demande au mari de le prendre.

« Vous voulez que je prenne le stylo comme si j’étais enceinte, à la manière dont mon épouse le ferait ? » demande le mari.

« Exactement, » répond l’instructeur.

Sous le regard joyeux des autres maris, il se tourne vers son épouse et dit, « Chérie, ramasse ce stylo pour moi ! »

 
ASTUCE:

Faites bouillir des épluchages de mangue verte, dans des récipients tels les autocuiseurs, les pots en aluminium, etc. pour les rendre propre et brillant.

 


UN CONTE DE MARI :

Vous pensiez que vous n’aviez jamais connu le goût de la souffrance jusqu’à ce que vous rencontriez une femme grincheuse qui a fait de votre vie un enfer. Est-ce que c’est la femme avec qui je me suis marié ? Pensez-vous que vous ne tiendrez pas jusqu’à l’année prochaine? Lisez les épreuves et les tribulations d’un mari.

Quand vînt le moment de me marier, en dépit de ce qu’on disait, je me suis préparé à épouser une femme de ma communauté. J’avais une vie lamentable -ma maison était imprégnée d’une atmosphère ténébreuse, pleine de tristesse et de brutalité. Le déjeuner était composé d’une épouse hurlante, et je dînais de ses pleurs et de ses plaintes. A l’heure du coucher, j’étais assuré que rien n’a changé par ses imprécations.

Nous ne parlions jamais. Nous luttions. Notre maison était sombre avec des couleurs pâles et des configurations mystérieuses. Elle n’avait aucune vie et il n’y avait que deux éléments de vie: le soleil et les visiteurs.

Un jour, un proche nous invita à déjeuner chez lui. J’étais effrayé que mon épouse refuserait, ou qu’elle sauterait d’humeur, c’était ce qu’elle faisait le mieux ! Je lui demandai gentiment et avec bonté de m’accompagner et elle y convint sans broncher, elle était même polie. Je me suis demandé pourquoi !

Nous nous rendîmes à la maison de notre hôte. Nous avons été accueillis dans une maison qui était pleine de lumière, de joie, de bonheur, les raisons de l’harmonie qui existait entre lui et son épouse. Le bonheur était leur qualité, le respect était leur devise. L’amour les a guidés et a introduit la lumière dans leur vie. Ils étaient comme Shahryar et Schehrazade des mille et une nuit. Non, ils étaient comme des « lovebirds » qui ne parlent pas, mais chantent et gazouillent. Leurs mots entre eux étaient ceux d’un père et d’une mère, d’un frère et d’une soeur, d’un mari et d’une épouse, d’un compagnon, d’un ami, d’un guérisseur.

Je n’aurais jamais voulu les quitter, j’étais rempli de confusion. Mon épouse était si différente avec ce proche. Son visage était plus doux, et elle était calme au point qu’elle était devenue une partie de cette unité harmonieuse. En fait, elle n’avait rien de ce diable qui était venu pour faire de ma vie une misère. Je n’avais pas connu cette femme avec qui j’ai vécu un temps qui semblait déjà trop long.

« O Allah ! guide mon épouse et fait la comme l’épouse de notre hôte » pensais-je.

J’étais hanté par ce qui c’était passé, pensant aux raisons jour et nuit, à plusieurs reprises. Je ne pouvais jamais comprendre pourquoi ils étaient si différents de nous. Ainsi je décidai d’aller chez notre hôte et le lui demander, et il m’a étonné avec une réponse inattendue :

« Celui qui ignore, perd pour toujours ; et celui qui sait, gagne le monde et son bonheur. Une femme est un cadeau d’Allah » dit-il.

Il continua : « son coeur est une fontaine de bonté, sa poitrine est un noyau de chaleur, et son sang est un fleuve de parfum. Elle donne sans retour, elle est tolérante avec l’amour des bonnes conduites. Elle respecte son mari et garde sa dignité. Sa beauté est dans son esprit. Son charme et sa séduction sont dans son esprit éclairé, sa conscience, et son avis sage. Cela eut-il été différent que les grands hommes des lettres n’auraient pas dit : « derrière chaque grand homme il y a une femme » ou les « femmes sont la moitié de la société ». Pensez donc, ce qui se produirait si un homme n’apprécie pas ou ne respecte pas son épouse ? Vous n’avez aucune idée de ce que vous obtiendrez si vous l’embrassez avec votre bonté, même avec un mot ! »

 

J’ai laissé cet homme dans une humeur pensive et réjouie et je suis revenu à mon épouse cherchant sa rémission et regrettant la vie que j’avais gaspillée sans jamais essayer de la comprendre. Depuis ce jour, l’amour a béni notre maison du respect. Nous avons vécu plus joyeux tout autant que notre hôte et son épouse.

«La richesse diminue quand on la dépense tandis que la science croit quand on la répand »

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Mft Louqman A.S. I.




FLASH ISLAM N°19

FLASH ISLAM     N°19

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HADITH, PAROLES ET TRADITIONS DU PROPHETE MOUHAMMAD

« Ne dédaigne pas une bonne action même s’il s’agit de rencontrer ton frère avec un visage souriant » (Mouslim)

                                                                                               

DOU’A EN ENTRANT DANS LA MOSQUE :

الَلَّهُمَّ ِإنِّي أَسْأَلُكَ مِنْ فَضْلِك

Allâhoumma in nî asalouka min fadhliq

« O Allah ! je te demande de ta bonté».

NOMS MUSULMANS :

GARCONS :— Irfâne : la connaissance, la gratitude, le bienfait.

        — ‘Arif : qui détient la connaissance.

         — Hârith: qui étudie, qui médite le Qour’ane, prénom recommandé par le Prophète e.

FILLES :     — Hâritha : voir précédent.

                    — Dâriya: qui connaît les choses, savante, instruite.

                    — Zakiyya: intelligente, perspicace.

PAROLE DE SAGESSE:

Celui qui s’y enrichit (dans ce monde) est troublé par ses richesses et celui qui est pauvre s’attriste de sa condition ; celui qui court derrière le monde ne l’attrape jamais alors que ce monde suit celui qui le fuit (Ali (t))

NOS CROYANCES FONDAMENTALES:

On devient Kâfir si on ne croit pas en Allah ou si on désespère de lui. (Behesti Zewar)

UN MONDE SOURIANT :

« Il y a dix ans de cela quand j’étais encore étudiant à l’université, je travaillais comme stagiaire au Musée d’Histoire Naturelle de mon Université. Un jour pendant que je travaillais à la caisse de la boutique des souvenirs, un couple de personnes âgées est entré avec une petite fille dans un fauteuil roulant.

Pendant que je regardais cette petite fille, elle s’est légèrement penchée en avant. Je me suis alors rendu compte qu’elle n’avait  pas de bras et de jambes, juste une tête, un cou et un torse. Elle portait une petite robe blanche avec des points de polka rouges.

Quand le couple dirigea sa chaise vers moi, je regardais la caisse. Je tourna ma tête vers la fille et lui fit un clin d’oeil. Alors que je prenais l’argent de ses grands-parents, je regardai à nouveau la fille. Elle me donna le plus grand sourire et le plus mignon que j’ai jamais vu. Tout d’à coup son handicap disparu et tout ce que je voyais c’était cette belle petite fille, dont le sourire m’a simplement ravi et m’a donné instantanément un sens complètement nouveau à la vie. Elle m’a pris d’un monde de pauvres étudiants mécontents et m’a amené dans son monde ; un monde de sourires, de chaleur et d’espoir.

Cela était il y a dix ans. Je suis maintenant un homme d’affaires qui a réussi et quand je déprime et je pense aux ennuis du monde, je pense à cette petite fille et la leçon remarquable de vie qu’elle m’a enseignée. »

1. Le Prophète (sallallahu alaiyhi wassallam) avait l’habitude de sourire, au lieu de rire…

Il (e) souriait habituellement au lieu de rire. Aicha (Radhiyallahou anha), épouse du Messager d’Allah e a dit: « Je n’ai jamais vu le Messager d’Allah e  rire à grand éclat à tel point que j’aurais pu voir sa luette. Il souriait seulement … »

                                  [Sounan Abou Dawoud, Vol. 3,]

2. Le sourire du Prophète et le rire des compagnons dans les rassemblments…

Jabir ibn Samourah t raconte:  « Simak ibn Harb a demandé à Jabir ibn Samourah t , vous êtes vous assis en la compagnie du Messager d’Allah e ?»

Il dit : « Oui, très souvent. Il (le Prophète e) avait l‘habitude de s’asseoir à l’endroit où il observait la prière de matin ou l’aube jusqu’à ce que le soleil se levait ou s’était élevé ; il se mettait debout, et ils (ses Compagnon) parlaient de questions (se rapportant aux jours) d’ignorance, et ils riaient (sur ces questions) alors que (le Prophète e) souriait seulement. 

                                                                         [Sahih Mouslim, 1413]

3. Aller de l’avant et donner du bien être à votre aimé !

Fâtema t, raconte :

« Le Prophète e  m’a dit quelque chose secrètement (pendant sa dernière maladie) et j’ai ri. »

            [Sahih al-Boukhari, Vol. 8, Le Chapitre 68 sur le sourire et le rire]

4. Amusant avec votre famille !

Ibn Mas’oud e raconte : « Mélangez-vous avec les gens à condition que votre Dîne ne soit pas mis en péril, et soyez plaisant avec la famille ». [Sahih al-Boukhari, le Chapitre 81 sur « être gai avec les gens »]

5. Le Prophète e riait aussi ; parfois jusqu’à ce que ses dents de devant soient exposées…

Abou Zar t rapporte que le Prophète e a dit : « Je connais le dernier des habitants du Paradis qui y entrera et le dernier des habitants de l’Enfer qui y sortira. C’est un homme qui sera convoqué le Jour de la Résurrection et il sera dit : Présentez-lui ses péchés mineurs, et retenez ses péchés majeurs.

Alors les péchés mineurs seront placés devant lui, et il sera dit : tel et tel jour vous avez fait ceci et tel et tel jour vous avez fait cela.

Il dira : Oui. Il ne sera pas possible pour lui de nier, Alors qu’il craindra que les péchés majeurs soient présentés devant lui, il lui sera dit : A la place de chaque mauvaise action vous aurez une bonne action.

Il dira (alors): Mon Seigneur ! J’ai fait des choses (mauvaises) que je ne vois pas ici ».

Je vis ainsi le Messager d’Allah rire jusqu’à ce que ses dents de devant fussent apparentes. »

                                                                                                                             [Sahih Mouslim, Vol. 1, 365]

6. Faîtes sourire et rire vos parents…

Abdoullah ibn Amr ibn al-‘As t raconte : « Un homme est venu au Messager d’Allah e et lui dit : « Je suis venu faire allégeance avec vous pour l’émigration, et j’ai laissé mes parents en pleurs. »  Il (le Prophète e) dit : «Retourne et faire les rire comme vous les avez fait pleurer. »[Sounan Abou Dawoud, Vol. 2, 2522]

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FLASH ISLAM N°18

FLASH ISLAM      N°18

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HADITH, PAROLES ET TRADITIONS DU PROPHETE MOUHAMMAD 

« Celui qui désire que sa subsistance soit plus abondante dans ce monde et que sa vie soit prolongée, doit entretenir les relations familiales. »    (Al Boukhâri)             

                                                                                                

DOU’A EN ENTRANT DANS LA MOSQUE :

 

الَلَّهُمَّ افْتَحْ لِيْ اَبْوَابَ رَحْمَتِك

Allâhoummaf tah lî abouâba rahmatiq

« Gloire à Allah dans toutes les conditions »

 NOMS MUSULMANS :

GARCONS :— Ilhâm :inspiration.

Nadîm : commensal, compagnon de table.

Zaïd: accroissement, abondance, esclave affranchi par le Prophète e,

qui l’aimait comme un fils.

 

FILLES :  — Najwâ : secrete, confidence.

Youmniyya: d’heureuse nature.

Hanâ : félicitation, réjouissance, félicité.

 

PAROLE DE SAGESSE :« De longs soucis attendant l’homme que la justice agace. » ( Ibn Hazm)

 

UNE JUSTICE INFAILLIBLE :

Lorsque Oumar t voulu mettre à mort le général persan Hormouzane, celui-ci demanda un peu d’eau à boire avant de mourir. On lui apporta de l’eau dans un récipient. Il le prit, et sa main fut secouée d’un tremblement  convulsif.

« Allons ! Bois-la tranquillement », dit Oumar t. « Je garantis ta sécurité jusqu’à ce que tu aies fini de la boire. »

A ce moment, le condamné laissa tomber le récipient. Toute l’eau se répandit sur le sol. Oumar tordonna de le mettre à mort. « Ne m’as tu pas donné ta parole que j’aurai la vie sauve ?» dit alors Hormouzane.

Comment cela ?

Tu m’as dit, il y a un instant que tu étais garant de ma sécurité jusqu’à ce que j’eusse fini de boire l’eau que l’on m’a présentée. Cette eau, je ne l’ai pas bue et je ne la boirai jamais, puisque je l’ai jetée à terre.

Que Dieu  te maudisse ! s’écria Omar. Tu as obtenu ta grâce sans que je m’en aperçoive.

 

ASTUCE:

Ajoutez du citron dans les dâls et les feuilles de légumes, cela facilitera leur ingestion.

 

SANTE : INFOS SUR LE CANCER

DE QUOI SE NOURISSENT LES CELLULES CANCEREUSES:

A. Le sucre est un nourrisseur du cancer. En coupant le sucre, on coupe une ressource alimentaire importante pour les cellules cancéreuses. Les substituts du sucre comme sont fait avec de l’Aspartame et cela peut être nuisible pour la santé. Un meilleur remplaçant naturel serait le miel ou la mélasse mais seulement en très petites quantités. Le sel de table contient u  produit chimique pour lui donner une couleur blanche. Utilisez plutôt le sel marin.

B. Le lait amène le corps à produire du mucus, surtout dans la partie gastro-intestinale. Le cancer se nourrit du mucus. En coupant le lait et en le substituant avec le lait de soja sans sucre les cellules cancéreuses diminuent considérablement.

C. Les cellules cancéreuses prospèrent dans un environnement acide. Un régime basé sur la viande est acide et il est meilleur de manger du poisson, et un petit peu de poulet au lieu du boeuf. La viande contient aussi les antibiotiques de bétail, les hormones et les parasites de croissance, qui sont tous nuisibles, surtout pour ceux qui ont le cancer.

D. Un régime fait de 80% de légumes et de jus frais, de grains entiers, de semences, de noix aide le corps à rester dans un environnement alcalin. Environ 20% peut provenir de la nourriture cuisinée contenant des haricots. Les jus de légume frais fournissent des enzymes vivantes qui sont facilement absorbés et atteint les niveaux cellulaires en 15 minutes afin de nourrir et améliorer la croissance de cellules saines. Pour obtenir des enzymes vivantes afin de construire des cellules saines, essayer de boire des jus de légume frais (la plupart des légumes y compris l’haricot vert) et mangez quelques légumes crus 2 ou 3 fois par jour. Les enzymes sont détruites à la température de 40 degrés celsius.

E. Eviter le café, le thé, et le chocolat, qui contiennent beaucoup de caféine. Le thé vert est une meilleure alternative et a des propriétés anticancéreuses. Buvez de l’eau purifiée, ou filtrée, pour éviter les toxines connues et les métaux lourds dans l’eau du robinet. L’eau distillée est acide, évitez-le.

F. La protéine de viande est difficile à digérer et exige beaucoup d’enzymes digestives. La viande non digéré dans les intestins se putréfie et mène à l’accumulation de toxiques.

G. Les membranes cellulaires des cellules cancéreuses ont une couverture de protéine dure. En s’abstenant de manger moins de viande on libère plus d’enzymes pour attaquer le mur de protéines des cellules cancéreuses et on aide les cellules immunitaires du corps à détruire les cellules du cancer.

H. Certains suppléments développent le système immunitaire (les anti- oxydants, les vitamines, les minéraux, etc.) pour aider les cellules immunitaires à détruire les cellules cancéreuses.

I. Le cancer est une maladie de l’esprit et du corps. Un esprit dynamique et positif aidera le guerrier du cancer à survivre. La colère, l’intolérance et l’amertume mettent le corps dans un environnement stressant et acide. Apprenez à avoir un esprit indulgent et plein d’amour. Apprenez à vous relaxer et à apprécier la vie.

J. Les cellules cancéreuses ne peuvent pas prospérer dans un environnement oxygéné. Faites des exercices quotidiens, en respirant profondément pour mieux oxygéner les cellules. La thérapie par l’oxygène est un des moyens employés pour détruire les cellules cancéreuses.

 «La richesse diminue quand on la dépense tandis que la science croit quand on la répand »
 

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FLASH ISLAM N°17

FLASH ISLAM     N°17

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HADITH, PAROLES ET TRADITIONS DU PROPHETE MOUHAMMAD

« Celui qui aide les veuves et les orphelins, sa récompense est comparable à celui qui fait la guerre sainte et passe la nuit dans les prières surérogatoires et jeûne durant le jour. »                                                                                  

(Al Boukhâri)

 

DOU’A EN VOYANT UNE CHOSE DESAGREABLE :

الَحَمْدُ للهِ عَلَى كِلِّ حَال

Al hamdoulillahi a’laa koulli haal

« Gloire à Allah dans toutes les conditions ».

 

NOMS MUSULMANS :

GARCONS : — Wadîd : aimant, affectueux, attentionnée.

            Ibrâhim : nom d’un Prophète, fils du Prophète e né de Mâriyya.

Hassan: fils de Ali t et Fâtima (ra), bon et beau.

FILLES :      — Nadîma : commensal, compagnon de table.

Nidâ : appel, clameur.

Nassîba : compagnon, proche.

 

REFLEXION:

« Les maux et les germes de la mort que porte la civilisation actuelle résident, comme nous venons de le voir, dans linsatié­té des gens, dans la surproduction toujours plus débordante darticles des moins indis­pensables. Dans la pollution diverse, qui en résulte et dans le déséquilibre mental qui pro­vient de cette agitation infernale et ce bon­heur quon ne trouve plus en soi-même et quon recherche vainement dans les stupéfiants, 1alcool et la débauche. Nous ne parlons même pas de cette peur que les uns ont des autres et qui les pousse à imaginer ces armes diaboliques qui cachent pour ce monde fatigue, la fin la plus horrible et la plus certaine car nous sommes entres de nous-même dans un tourbillon qui dépasse de loin notre volonté et nos forces et il fau­drait une puissance vraiment surhumaine pour nous en sortir. ” (Salahouddine Kechride)

 

UNE SAGESSE : On dit à un sage : « Quand l’œuvre d’un homme commence-t-elle à se rapprocher de la perfection ? ». Il dit : « Quand tous les bons s’accordent pour dire que c’est un ange et que tous les mauvais s’accordent pour dire que c’est un démon. »

 

SANTE : INFOS SUR LE CANCER

1. Toute personne a des cellules cancéreuses dans son corps. Les cellules cancéreuses n’apparaissent pas dans les tests standards jusqu’à ce qu’elles atteignent quelques millions. Quand le médecin annonce  au patient qu’il n’a plus de cellules cancéreuses dans son corps après un traitement, cela signifie simplement que le test est incapable de détecter les cellules cancéreuses car elles n’ont pas atteint la quantité détectable.

2. Les cellules cancéreuses apparaissent entre 6 à 10 fois dans la vie d’une personne.

3. Quand le système immunitaire d’une personne est fort, les cellules cancéreuses sont détruites et ne peuvent se multiplier pour former des tumeurs.

4. Quand une personne a un cancer, cela indique qu’elle a des déficiences nutritionnelles multiples. Cela peut être du à des facteurs génétiques, environnementaux, au style de vie et à l’alimentation.

5. Pour surmonter ces déficiences nutritionnelles multiples, le changement du régime alimentaire associé à des suppléments renforce le système immunitaire.

6. La chimiothérapie implique la destruction des cellules cancéreuses et saines à développement rapide dans la moelle des os, les voies gastro-intestinales etc, et peut causer des dommages aux organes comme le foie, les reins, le cœur, les poumons…

7. La radiation brûle, marque et endommage les cellules saines, les tissus, les organes durant le traitement des cellules cancéreuses.

8. Le traitement initial par la chimiothérapie et la radiation réduit souvent la taille de la tumeur. Cependant, une utilisation prolongée de la chimiothérapie et des radiations n’entraîne pas une plus grande destruction des tumeurs.

9. Quand le corps a trop de déchets toxiques issus de la chimiothérapie et des radiations, le système immunitaire est dérangé ou détruit, ainsi la personne peut succomber à différentes infections et complications.

10. La chimiothérapie et la radiation peuvent entraîner les cellules cancéreuses à se muter et à devenir plus résistant rendant ainsi difficile sa destruction. La chirurgie peut aussi causer la propagation des cellules cancéreuses vers d’autres endroits du corps.

11. Une façon efficace de lutter contre des cellules cancéreuses est de les priver  des nutriments qu’ils ont besoin pour se nourrir.

Mft Louqman A.S. I.

 

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FLASH ISLAM N°16

FLASH ISLAM     N°16

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HADITH, PAROLES ET TRADITIONS DU PROPHETE MOUHAMMAD

« Le bâillement vient du diable : lorsque l’un de vous a envie de bâiller, qu’il se retienne dans la mesure où il le peut, car si l’un de vous dit : « Aah ! » (en bâillant), le diable rit.» (Al Boukhâri)


DOU’A LORSQU’ON A UN EXCES DE COLERE :

أَعُوْذُ بِااللهِ مِنَ الشَيْطَانِ الّرَجِيْم  

A’ouzo billâhi minash shaïtânir radjîm

« Je cherche refuge auprès de Dieu contre Satan le maudit ».

NOMS MUSULMANS :

GARCONS :

Zaky : pur, vertueux,juste,intègre.

Safwâne: pur, limpide, lisse.

Iyâs: pluriel de Aws. Iyâs Ibn Mou’adh : premier Médinois converti à l’Islam.

 

FILLES : — Wafiyyah: toujours fidèle à ses engagements.

Joude : générosité, largesse, ; pluie , ondée.

Moujâba : exaucé. Moujâb : un des noms du Prophète (Sallallahou Alayhi wassallam).

 

UNE SAGESSE :  Les hommes sont ennemis de tout ce qu’ils ignorent. (Ali Ibn Abi Tâlib)

 

UN SOURIRE :

Une nuit 4 étudiants de Master en Sciences de Gestion (MBA) se sont amusés jusqu’à la dernière nuit des examens et n’ont pas étudié pour l’examen qui était prévu le lendemain.

Dans la matinée ils organisèrent un plan. Ils se sont salis les vêtements et le corps de façon bizarre avec de la graisse et de la boue.

Ils se présentèrent alors au Doyen en disant qu’ils avaient assisté à un mariage la veille et sur leur chemin du retour un pneu de leur voiture a éclaté et qu’ils ont eu à pousser la voiture toute la nuit et qu’ainsi ils n’étaient pas en condition de passer l’examen.

Le doyen était une personne juste et sage et il leur dit qu’ils pouvaient passer à nouveau l’examen après 3 jours. Ils promirent qu’ils seront prêts.

Au troisième jour, ils se présentèrent pour l’examen. Le doyen leur dit qu’une condition spéciale stipule que tous les quatre doivent s’asseoir dans des salles de classe séparées pour le test. Ils consentirent étant donné qu’ils avaient bien préparé l’examen durant les trois jours.

Le test consistait de 2 questions avec un total de 100 points.

Q. 1 : Ecrivez votre nom —-. – (2 points)      Q. 2 : Quel pneu a éclaté ? – (98 points)

 

IL APPRECIAIT LES BIENFAITS D’ALLAH :

Maulana Asghar Houssain (ra), connu de beaucoup comme Hazrat Mian, était parmi ces enseignants de Daroul Ouloum Deoband (www.darululoom-deoband.com) qui se préservaient de la célébrité et de la renommée.

Il a dépensé sa vie entière au service du Dîne en tant qu’enseignant des sciences islamiques et des milliers d’étudiants ont profités de sa connaissance et de sa grande piété.

Aujourd’hui, il n’y a peut être pas dans le sous-continent indien un savant connu qui ne soit son étudiant directement ou indirectement. Il a laissé derrière lui d’innombrables livres, sur des sujets uniques et dans une langue florissante qu’on retrouve rarement même dans les écrits d’il y a un siècle. Malgré sa position élevée dans la connaissance et la piété, sa simplicité et son humilité étaient telles que  celui qui le voyait ne pouvait pas s’imaginer qu’il était un homme d’un statut aussi élevé. Il habitait dans un petit quartier de Deoband (dans la province indienne de Saharanpur) et sa hutte était faite de boue. Chaque année quand la saison des moissons arrivait, différentes parties de sa hutte s’effondraient et, ensuite, beaucoup de temps et d’argent étaient dépensés pour les réparations. Mon révéré père Hazrat Moufti Mouhammad Shafi` (ra) était un étudiant particulier de Hazrat Mian qui était très amical avec lui.

Un jour mon révéré père lui dit : « Vous devez réparer votre hutte chaque année et, en raison de cela, vous subissez beaucoup de difficultés et vous dépensez beaucoup de temps et d’argent. Si vous le reconstruisiez avec des briques, vous serez soulagé de ces tribulations constantes ». Hazrat Mian (ra) avait le sens de l’humour. En entendant la suggestion de mon père, il le loua extrêmement et l’applaudi en s’écriant, « Excellent ! Moufti Sahab, excellent ! Voilà une suggestion logique ! J’ai habité presque toute ma vie entière dans cette hutte mais une telle pensée n’est jamais venue à mon esprit ».

Mon père dit : «Hazrat Mian (ra) répéta cette exclamation tellement de fois que je me suis senti profondément gêné. Finalement, j’ai dit : « Hazrat, mon intention était seulement de découvrir la sagesse derrière votre volonté de ne pas reconstruire – bien que vous ayez les moyens financiers —la hutte avec des briques. Donc, au lieu de m’embarrasser encore plus, s’il vous plaît, dites moi la véritable raison derrière cela ».

Au début Hazrat Mian essaya d’éviter de répondre à la question. Mais quand mon père ne cessa d’insister, Hazrat Mian pris sa main et marcha jusqu’à la porte d’entrée de sa hutte et dit :

« Regardez ! Regardez de part et d’autre de cette allée. Pouvez-vous voir de huttes construites de briques d’un bout de l’allée à l’autre ?  »

Mon père répondit négativement. Hazrat Mian dit : « Dites-moi, quand toutes les huttes de mes voisins sont faites de boue, comment me conviendrait-il d’habiter dans une hutte construite de briques ? Je n’ai pas les moyens financiers pour reconstruire toutes leurs huttes avec des briques. La raison pourquoi je ne reconstruis pas ma hutte avec des briques est parce que je me sens incommodé à l’idée d’être distinct de tous mes voisins ».

Tel était Hazrat Mian. J’ai relaté cet incident comme une courte introduction à son tempérament et à sa situation et, ainsi, le coté unique de son caractère pourra être apprécié. Ce caractère unique est — surtout à notre époque matérialiste — quelque chose qui dépasse notre imagination. J’avais l’intention de relater en fait un autre incident….

( Moufti Mouhammad Taqui Outhmâni )

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FLASH ISLAM N°15

FLASH ISLAm N°15

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HADITH, PAROLES ET TRADITIONS DU PROPHETE MOUHAMMAD 

« Allah n’a accordé un bien à un serviteur, et que celui-ci, ne dise Alhamdoulillah (Louange à Allah) sans qu’Allah ne le récompense pour sa reconnaissance. S’il prononce ces mots une deuxième fois, Allah lui renouvellera cette récompense, et s’il les dit une troisième fois, Allah lui effacera ses fautes.»  [AlHakim,Al Baïhaki

 

DOU’A LORSQU’ON VISITE UN MALADE :

أَذْهِبِ البَأْسَ رَبَّ النَّاسِ اِشْفِ أَنْتَ الشَّافِي لاَ شِفَاءَ اِلاَّ شِفَاءُكْ شِفَاءً لاَ يُغَادِرُ سُقْمًا  

Soubhânallazi  azhibil bas sa rab ban nâss ichfi antach châfi lâ chifâ a illa chifâouq chifâ an lâ youghâdirou souqmâ.

 « O Seigneur des hommes ! Ecarte le mal ! Guéris-le car tu es le seul qui guérit !

Il n’y a d’autre guérison que la Tienne, et c’est une guérison qui ne laisse la moindre maladie ».


NOMS MUSULMANS :

GARCONS : — Abou Bakr : beau-père du Prophète (e) et premier       calife. Ce surnom signifie : l’homme à la chamelle.

                                                           — ‘Adnâne : aïeul du Prophète (e).

                                                           — Wissâm: décoration, médaille, armoiries (e

FILLES :      — Jadwa: utilité, profit.]
Louweïza : diminutif d’amande.

Loujeïna : argent.

 

REFEXION: “Dans tout le monde arabe, les bibliothèques se multiplient. En 815, à une époque où 1Europe ne savait pas lire, le Calife Al-Mamoun fonde à Bagdad «la maison de la sagesse» qui rassemble un million douvrages. En 891, un voyageur compte dans la ville plus de 100 bibliothèques publiques. Au Xe siècle, une petite ville comme Najaf, en Iran, possède 40,000 volumes. Le directeur de l’observatoire de Maragha, Nasim ad-dîne at toussi, réunit une collection de 400,000 volumes, alors que quatre siècles plus tard le roi de France Charles  V, le sage, réunira à peine 900 volumes. Mais nul ne peut rivaliser avec le calife du Caire, Al-Aziz, dont la bibliothèque comporte un million six cent mille volumes, dont 6000 de mathématiques et 18,000 de philosophie. » (Roger Garaudy, Grandeur et décadence de l’islam)

 

SAGESSE ARABE : « Il vaut mieux se repentir d’avoir gardé le silence, plutôt que de se repentir d’avoir parlé. »

 

UN SOURIRE: Il y avait un cas dans l’unité de réanimation de l’Hôpital, où les malades meurent toujours sur le même lit, chaque dimanche matin à 11am – sans rapport avec leur condition médicale. Ceci troubla énormément les médecins et quelques uns pensaient même que ce lit particulier était celui du Diable… pourquoi des morts à 11am les dimanches matins ? Une équipe mondiale d’experts a été constituée et ils ont décidé de descendre à la section pour examiner la cause des incidents. Donc le dimanche matin suivant, quelques minutes avant 11, tous les médecins et toutes les infirmières ont attendaient nerveusement hors de la section pour voir le phénomène terrible se produire. Quelques-uns tenaient des bâtons en bois, des livres de prière et d’autres objets saints pour éviter les esprits diaboliques… A 11h l’horlorge sonna… Mama jane entra (le nettoyeur à temps partiel du dimanche). Elle pénétra la section de réanimation et débrancha le système de survie artificiel du malade pour pouvoir utiliser son aspirateur ».

 «La richesse diminue quand on la dépense tandis que la science croit quand on la répand »

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Mft Louqman A.S. I.




FLASH ISLAM N°14

FLASH ISLAm N°14

flash islam

HADITH, PAROLES ET TRADITIONS DU PROPHETE MOUHAMMAD e

« Chaque fois qu’un Musulman plante un arbre ou sème une graine, il aura droit à une récompense (céleste) pour tout ce qu’un oiseau, un homme ou un quadrupède mangera (de ce qui en sortira).»                                                                                                                                  [Boukhâri]

 

DOU’A LORS DE l’éclatement du tonnerre :

  سُبْحَانَ الذَّيِ يُسَبِّح ُالرَّعْدُ بِحَمْدِهِ وَ المَلا َئِكَةُ مِنْ خِيْفَتِهِ   

Soubhânallazi  Yousabbihour ra’dou bihamdihi wal malâ iqatou min khîfatih

 « Gloire à celui dont le tonnerre et les anges célèbrent ses louanges avec crainte ».

 
NOMS MUSULMANS :

GARCONS : — Marwâne: le silex, le quartz.

                   — Maquine : solide, stable, vigoureux.

                   — Amîne: fidèle, sûr, digne de confiance. Nom donné au Prophète (e)


FILLES :      — Mâwiyya: femme pure.

Amîna : même sens que ci-dessus.

                   — Loubna : le benjoin.


La douceur du Imâne (Suite ET FIN) : (histoire exclusivement réservée aux femmes).

 … Quand nous atteignîmes l’endroit où habitait sa famille, on frappa à la porte. Un grand garçon, son frère, nous ouvra. Quand il vit sa sœur, il était heureux, mais aussi perplexe. Sa sœur était aussi heureuse de le voir ; mais il ne put contenir sa curiosité. Le visage était celui de sa sœur, mais la robe ne l’était pas. Toute vêtue de noir – toute couverte, sauf le visage ! Elle entra dans la maison souriante et embrassa son frère. Je suis entré après elle et me suis assis dans le salon.

La maison était celle d’une de famille de basse classe et très simple. On pouvait y voir les signes de la pauvreté. Je me suis assis seul pendant qu’elle pénétrait les pièces intérieures de la maison. Je pouvais les entendre parler, hommes et femmes, dans la langue russe, sans comprendre un mot, ni sachant ce qui se passait là dedans. Soudain leurs voix se sont élevées, les tons ont changé et les cris ont augmenté. J’ai senti qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas, mais j’étais incapable de me faire une idée de ce qui se passait car je ne comprenais pas la langue. Peu de temps après, trois jeunes hommes et un vieil homme se présentèrent à moi. J’ai pensé qu’ils étaient maintenant prêts à accueillir leur gendre, mais l’accueil s’est avéré être des gifles et des coups. Ils commencèrent à me battre. Quand je me suis retrouvé entre ces gens inhumains j’ai su que je pourrais mourir ici. J’ouvris précipitamment la porte et je m’enfuyais aussi vite que je pouvais alors qu’ils me poursuivaient. J’ai réussi à les semer. Arrivé en lieu sûr,  je me suis examiné et il y avait des signes de coups sur mon front, mes joues et mon nez. Ma bouche saignait et mes vêtements étaient déchirés. Je me suis dit. « Je suis maintenant en sûreté, mais quel est la situation de ma femme ? » Je ne cessais de  penser à elle. Sa pensée hantait mes esprits, « Est-ce qu’en ce moment elle est aussi entrain de subir ces gifles, ces coups, faisant face toute seule à ce que je viens de vivre? Je suis sûr qu’elle me quittera. Je suis sûr qu’elle renoncera à l’Islam ». Je suis resté dans ma pièce jusqu’ à l’aube. J’ai changé mes vêtements et je suis sorti  pour essayer de trouver une quelconque information.

J’ai observé leur maison de loin, essayant d’imaginer ce qui se passait à l’intérieur, mais la porte était fermée.

Des heures et des heures se sont écoulées pendant que j’observais en allant  et venant. J’ai fais la même chose le deuxième jour et le troisième jour j’ai perdu l’espoir et j’ai pensé que ma femme était morte. Elle a été assassinée. Mais, si elle était morte, alors au moins il aurait dû y avoir quelques mouvements dans la maison, des visites de condoléances aux parents !

Mais je n’ai rien vu. Au quatrième jour, après que les gens de la maison étaient allés à leurs travaux, la porte s’est ouverte, et ma femme apparu, regardant à droite et à gauche. Je n’ai jamais vu de ma vie une scène plus agréable que ce que j’observais maintenant malgré le fait que son visage étais rouge couvert de sang! Je me précipita vers elle et essaya de la dévisager. J’étais abattu et confondu. Je me suis senti malade. Sa couleur avait changé au rouge. Il y avait du sang sur son visage, sur ses bras, sur ses cuisses et sur ses jambes. Seulement un petit morceau de tissu recouvrait son corps. Ses pieds et ses mains étaient enchaînés et verrouillés derrière son dos. Je l’ai regardée et je me mis à pleurer. Je ne me contrôlais plus. Elle m’a dit : « 0 Khalid, écoute ! Premièrement, soit rassuré, je suis toujours Musulmane. Ce que je subis maintenant, ce n’est rien comparé à ce que les Sahabah et Tâbi’in ont endurés ensemble avec le Prophète e et les Messagers avant eux. Deuxièmement, je te demande, Khalid, que tu n’interfères pas entre moi et ma famille. Troisièmement, attends moi dans la chambre d’hôtel jusqu’ à ce que je te rejoigne là-bas, Insha-Allah, mais surtout augment tes dou’as et tes prières la nuit. Fais ta salah. » Je suis rentré à l’hôtel et j’y suis resté. Après trois jours, j’entendis quelqu’un frapper à la porte. Je me demandai : « Qui est-est ce ? Qui pourrait être à la porte ? »                Soudain j’entendis le son d’une voix très familière. Je n’avais jamais entendu une voix si douce, si agréable et si belle que celle-ci. C’était la voix de ma femme me disant : « Ouvres la porte, je suis untel ». J’ouvris la porte et le monde rayonna à mes yeux. Elle m’a dis : « Viens, partons maintenant ». « Maintenant ? ! » Je demandai, tout à fait étonné. « Oui », dit-elle. Nous sommes montés dans un taxi. Je l’ai demandé en russe, « L’aéroport ? » Elle dit : « Non ! Non ! Nous n’allons pas à l’aéroport. Nous allons à tel et tel village ». « Pourquoi ? Nous ne voulons pas nous sauver ? » Demandai-je. Elle répondit :« Non, si ma famille apprend mon évasion, elle essaiera de nous poursuivre à l’aéroport. Mais allons à un village, puis de là-bas à un autre village, ensuite un troisième, un quatrième, un cinquième, et après une ville avec un aéroport international ».  Nous avons réservé finalement nos billets et avons réservé une pièce jusqu’ à notre départ.  J’ai regardé ma femme, essayant de voir si une partie de son corps avait été épargnée de saignement – aucun ! Dans notre voyage à l’aéroport, je lui avais demandé de me raconter tout ce qui lui était arrivé. Elle me dit : « Quand je suis entré dans la maison et je me suis assis avec ma famille, ils ont commencé à me questionner à propos de ma robe et de l’homme qui m’accompagnait. Je les ai dit que j’ai embrassé l’Islam et j’ai épousé cet homme Musulman.

Ils ont dit : « Ce n’est pas possible ». Je leur ai dit : « Tout d’abord permettez-moi de vous raconter toute l’histoire depuis le début » et je les ai tout dit; depuis l’homme russe, et comment il a voulu me mener à l’indécence et vendre ma dignité. Ils répondirent : « Ecoutes. Si tu aurais été prise dans l’immoralité et aurais vendu ta dignité, cela aurait été meilleur pour nous que tu sois devenue Musulmane. Tu ne sortiras pas de cette maison à moins que tu deviennes un communiste orthodoxe ou un cadavre raide ! ». A ce moment même, ils m’ont capturé et m’ont lié, et ensuite ils sont venus te voir pour te battre. J’entendais quand ils te frappaient mais j’étais liée.

Puis, après que tu te sois enfui, mes frères m’ont enchaîné, et ont commencé à me fouetter. J’ai été exposé à des coups et à des moments d’agonie le soir jusqu’ au coucher. Le matin mes frères et mon père étaient au travail et ma mère restait à la maison. J’étais abandonné et isolé. Ma petite sœur de quinze ans s’amusait avec moi.

Ce divertissement était la seule consolation et répit que j’ai eu. Parfois je suis restée inconsciente. Ils me frappaient jusqu’à ce que je devienne inconsciente et m’endormais. Leur seule demande était que je renonce l’Islam, et j’ai refusé. Cela a duré ainsi jusqu’au moment où ma sœur, pendant ses railleries, me demanda : « Pourquoi quittes-tu ta religion et la religion de ta mère et de ton père? ». J’ai commencé à lui expliquer et à  la convaincre.Elle commença à comprendre et fut aussi très impressionnée. Sa vision s’est éclaircie et l’erreur dans lequel ils habitaient devint apparent. Elle a tout de suite dit : «La vérité est avec toi. Ceci est la bonne religion. Ceci est la religion que je dois suivre ». Elle m’a dit alors : « Ecoutes-moi, ma sœur, je t’aiderai ». Je lui ai dit : « Si tu veux m’aider, alors aides-moi à rencontrer mon mari ». Ma sœur  commença à regarder par les fenêtres supérieures et t’as vu marcher. Elle m’a dit : «  je vois un homme avec telles et telles caractéristiques », et elle a commencé à te décrire. Je lui ai dit : «  C’est mon mari. Si tu le vois, ouvre la porte pour que je puisse lui parler ». A ces mots, elle a ouvert la porte et je suis sorti. et je t’ai parlé.

Mais maintenant il y avait un problème ; j’étais enchaînée avec deux chaînes, et il y avait une troisième chaîne, qui était attachée à un pilier, pour que je me déplace dans un espace limité. Les clefs de cette chaîne étaient avec ma sœur. Le jour où je t’ai demandé de rester dans ta chambre jusqu’à ce que je vienne te rejoindre là-bas, eh bien le jour suivant, j’ai pu convaincre entièrement ma sœur et elle a embrassé l’Islam, et s’est résolu à faire un sacrifice plus grand que le mien. Elle était déterminée à m’aider à me sauver de la maison. Mais les clefs des deux chaînes étaient avec mon frère, et il était très strict sur ces clefs. Ce jour même, ma sœur  proposa un plan; elle prépara une bière très forte pour les gens de la maison et organisa une soirée. Ils ont donc bu et ils ont tellement bu qu’ils sont devenus totalement ivre et ont sombrés dans une sommeil profond. Elle a sorti alors les clefs de la poche de son frère et a ouvert les chaînes, et je suis venu à toi dans les dernières heures de la nuit ».  Je l’ai demandé : « Et ta sœur ? » Elle  dit:« j’ai conseillé ma sœur de ne pas annoncer son Islam, mais de le garder secret et de prier en secret, jusqu’à ce que nous puissions planifier quelque chose pour elle ». Nous avons voyagé sur le vol que nous avons réservé et nous sommes retournés au pays. J’ai emmené ma femme à l’hôpital et elle a été admise pour quelques jours pour le traitement des blessures provoquées par les coups. Fin




FLASH ISLAM N°12

FLASH ISLAM     N°12

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HADITH, PAROLES ET TRADITIONS DE MOUHAMMAD 

 « Un homme vint trouver le Prophète e et lui dit : « O Envoyé se Dieu, quelle aumône sera-t-elle la plus amplement récompensée ? Cela a lieu, répondit-il, quand tu donnes, alors que tu es en bonne santé et avare, redoutant la pauvreté, ambitionnant la richesse. N’attendez pas le moment de mourir pour dire : « ceci pour un tel, et cela pour tel autre », car déjà cela appartient à un tel (ton héritier) ».

[Rapporté Boukhâri] 

DOU’A LORSQU’ON SE REGARDE DANS LE MIRROIR :

Quand le Prophète e se  regardait dans le miroir, il disait :

الَحَْمدُ ِلله ِالذِيْ حَسَّنَ خَلْقِيْ وَخُلُقِيْ وَزَاْنَ مِنِّيْ مَا شَانَ مِنْ غَيْرِيْ

Al hamdoulillah il lazi hass sana khalquî wa kholouqui wa zâna minnî mâ shâna min ghaïri.

« Louange à Dieu qui m’a accordé une bonne création et un bon caractère, qui a embelli en moi ce qu’il a n’a pas embelli chez un autre que moi ». (Rapporté par Ibn Abbass)

NOMS MUSULMANS :

GARCONS : — Madyane : Nom de la ville et du peuple du Prophète Shou’aïb.

                   — Mahmoud: Un des noms du Prophète e. Loué, celui vers qui vont les louanges.

                   — Shâfi: qui guérit.

 

FILLES :      — Boushrâ : Bonne nouvelle.

— Wadîda : Aimante, affectueuse, attentionnée.

                   — Nidâ: appel, clameur.

 

NOS CROYANCES FONDAMENTALES:

Allah n’a donné aucun ordre d’action qui soit au dessus des capacités de ses sujets. (Behesti Zewar).

 

ASTUCE :

La façon la plus rapide pour sécher des herbes : poser une feuille de journal sur le siège de votre voiture, disposer les herbes en une seule couche, ensuite fermer les fenêtres et les portes. Vos herbes seront rapidement séchées à la perfection.  En plus, votre voiture sera parfumée.

 

La douceur du Imâne : (histoire exclusivement réservée aux femmes).

Quand l’Iman avec sa pureté immaculée pénètre les voies profondes du cœur, il crée un lien solide avec Allah, et Lui plaire devient le but ultime de la vie sur terre à telle point  qu’aucune force ou aucune autorité, ne peut dissuader une relation aussi solide. Ainsi, quand cette soumission est complète, la Force Divine entre en action et produit l’inconcevable. Tel était le cas de cette sœur russe qui a embrassé l’Islam et a découvert le vrai goût de la douceur de l’Iman. Ce qui va suivre est l’histoire stupéfiante de sa conversion à l’Islam et de ce qui s’en est suivi. Elle est relatée par le Cheikh Ibrahim Al-Faris. Nous devons nous dire: « Si elle peut le faire, pourquoi pas moi ? » 

Le Cheik raconte : Cette histoire, mes chers frères, est celle d’une femme russe – une femme russe ! Je ne parle pas de la femme d’ici, ou de n’importe quelle partie du monde islamique. Elle voyagea avec un groupe de femmes vers un état voisin des Emirats pour importer des marchandises. Ils étaient accompagnés d’un russe. Ils devaient acheter des équipements et appareils électriques et les faire entrer en Russie sous le prétexte d’un usage personnel afin d’être exempté de taxes excessives. L’homme d’affaires russe paierait les articles qui étaient en leur possession et les vendrait à un prix plus élevé. Les femmes devaient recevoir une petite portion du profit. Une telle chose est commune et pratiquée abondamment en raison du faible coût des produits dans les états de l’UAE.

Quand ils avaient atteint leur destination, l’homme russe présenta aux jeunes femmes un projet, qui était complètement différent de ce dont elles avaient consenti.

Il leur dit : « On est venu ici pour obtenir une grande quantité d’argent. Que pensez-vous de gagner plus de richesses ? »

Et il leur demanda d’utiliser leur corps pour gagner cette richesse qu’il faisait miroiter. Quiconque accepte l’affaire doit l’annoncer rapidement. Il pu convaincre beaucoup de jeunes femmes concernant son projet. Naturellement les dames furent convaincues ; et pourquoi pas ? Car elles n’avaient pas la force du « Imâne » pour les arrêter, ni la moralité décente pour les freiner. Une femme, cependant, ressentit qu’il n’était pas possible pour elle de s’adonner à une telle action.

L’homme ria et dit : « Dans ce pays vous serez perdu. Vous ne possédez rien sauf ce que vous portez sur vous maintenant ». Elle trancha sur sa situation et prépara rapidement un plan dans sa tête. Elle saisit son passeport et s’enfuya dans la rue. Elle n’avait rien avec elle sauf ce qu’elle portait comme vêtement sur son corps et son passeport.

Dehors, dans la rue, elle erra sans but. L’homme russe l’appela et cria : «  Si la route se ferme sur vous et que ça devienne difficile pour vous, vous pouvez venir me voir et ceci est mon adresse…. », mais la femme était déjà partie.

La personne relatant cette histoire raconte : « Je marchais dans la rue avec ma mère et mes sœurs quand soudain cette femme est venue précipitamment vers notre direction et dit : «  Je suis de Russie, et une telle chose m’est arrivée », et elle commença à raconter toute son histoire. « Tout ce dont j’ai besoin c’est juste une courte période afin que je puisse réfléchir sur ma situation avec ma famille dans mon pays ».

 À la fin de notre discussion, nous décidâmes d’accepter sa demande et nous l’amenâmes à la maison avec nous. Elle commença à entrer en contact avec sa famille, mais sans aucune réponse, étant donné que les lignes de communication de son pays n’étaient pas en bonne état. Néanmoins, elle continuait à tout moment d’essayer de contacter sa famille.

Bien sûre mes sœurs commencèrent à la traiter comme une sœur et la présenta l’Islam, mais elle détestait cette idée et l’ignorait. Elle refusait d’accepter, et n’était pas prête à discuter de l’Islam. La raison est qu’elle venait d’une famille orthodoxe qui déteste l’Islam et les Musulmans.

Un jour, je suis allé à la bibliothèque de « Da’wah » et demanda de l’aide au directeur de la bibliothèque. Le bibliothécaire raconte :

« L’homme prit quelques livres et s’en alla. Quelques temps plus tard, il revint mais cette fois accompagné de quatre femmes ; trois étaient couvertes avec un genre de hijab, c.-à-d. leurs visages et leurs mains étaient découverts, et la quatrième était partiellement couverte; ses cheveux et son visage étaient découverts.

L’homme dit : « Cette dame est Russe ».

Il rapporta tout ce qui s’est passé et dit : « je suis venu vous voir la semaine dernière et je vous ai demandé quelques livres et maintenant j’ai besoin d’autres livres et d’autres cassettes. Je l’ai proposé d’accepter l’Islam et elle a commencé à montrer un intérêt. Je l’ai promise que je l’épouserai si elle devenait Musulmane ».    

Le bibliothécaire continua : « je lui donna d’autres livres. Il les a pris et est revenu quelques jours après et m’annonça qu’elle a consenti à devenir Musulmane et voudrait témoigner son Islam. Quand elle déclara son Islam, je dis à l’homme qu’il y a un groupe de femmes qui enseignent le Qour’ane et elles sont connues pour leur bon niveau d’enseignement. »

Le bibliothécaire, continuant l’histoire dit : «Quelques temps après, l’homme est venu et me dit : «  je l’ai épousée et je suis maintenant satisfait et très heureux. Toute louange et toute gratitude à Allah. »

 La chose qui a soulevé le plus mon intérêt était que cette femme s’était couverte entièrement, pas comme ses sœurs et leur mère. Etrange ! Elle a adhéré complètement au hijab.  Je lui demanda poliment comment cela est arrivé, et il me relata un événement étrange. Il dit : « Dans le marché, ma femme (la russe) s’était adressée à une femme qui était couverte complètement.

Elle me demanda : «  Pourquoi s’est-elle couverte de cette façon ? Je suis sûr que cette femme a quelques défauts qu’elle veut dissimuler ».

 Le mari répondit en voulant défendre la notion islamique de l’honneur : «  Non, cette femme a porté le hijab qu’Allah a commandé à Ses serviteurs et prescrit par Son Rasoul. »

Ensuite, après avoir réfléchi quelques peu, elle m’a dit : «  Quand j’entre dans un complexe commercial, les regards des propriétaires se fixent sur mon visage. Je dois couvrir ce visage que j’ai. Il devrait être réservé à mon mari seulement. Donc, je ne sortirai pas de ce marché qu’après m’être couverte entièrement. » Elle insista que j’achète un hijab pour elle. Elle commença à le porter tout de suite ».

Le bibliothécaire dit que j’ai rencontré cet homme seulement après cinq ou six mois environ. Après l’avoir salué, je lui demanda : «  Où  étiez-vous? »

 Il dit : « Quelques raisons m’ont amené à m’absenter». Il continua en disant, « Après avoir épousé cette femme, son passeport devait être renouvelé dans son pays d’origine. Nous devions donc nous rendre en Russie. Nous avons acheté deux billets et sommes montés l’avion, avec ma femme dans son hijab complet.

 Je lui ai dit : « 0 Serviteur d’Allah ! Nous aurons des problèmes maintenant ».

Elle répondit : « 0 Khalid ! Maintenant vous voulez que j’obéisse à ces infidèles immoraux, qui mèneront vers l’enfer quand ils mourront, pour ce qu’ils sont et ce qu’ils font, et que je désobéisse à Allah? ! Je ne peux pas faire cela ». C’étaient ses propres mots !

« Nous sommes montés dans l’avion et les gens ont commencé à se moquer d’elle en russe. »

 Il continua : « je n’ai pas compris un mot de ce que les gens disaient, mais ma femme parfois souriait et de temps en temps riait et traduisait ce qu’ils disaient.  L’un disait : Regardez-la ! Elle a l’air de tel et tel et l’autre commentait, et un autre se moquait. Quand elle traduisait ce qu’ils disaient, c’était comme une flèche transperçant mon cœur sans être enlevée.

Elle disait : Ne soit pas vexé. Ceci est insignifiant en comparaison de ce que les Sahabah ont subis !

…… A suivre ……




FLASH ISLAM N°13

FLASH ISLAM     N°13

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 HADITH, PAROLES ET TRADITIONS DE MOUHAMMADe

 « Sa’ad (radhia Allâhou anhou) demanda un jour au Prophète (sallallâhou ‘alayhi wa sallam) de faire dou’a pour qu’Allah lui fasse Moustadjâbout da’awâte càd que ses dou’a soient toujours acceptés. Le Prophète (sallallâhou ‘alayhi wa sallam) lui répondit: « Rends ta nourriture Halal et tes dou’a seront acceptés ». »

[Tabrâni fil awssat]

 


DOU’A LORSQU’ON VOIT UNE ETOILE FILANTE:

Ibn Mass’oud a dit : « Le Prophète (sallallâhou ‘alayhi wa sallam) nous a ordonné de ne pas poursuivre l’étoile par nos regards jusqu’à ce qu’elle disparaisse, et de dire alors :

 مَا شَاءَ اللهُ لاَ قُوَّةَ إِلاَّ باللهِ

Mâshâ Allah hou lâ qouwwata il la bil lah

« Telle est la volonté de Dieu, il n’y a aucune force qu’en Dieu ». (Rapporté par Ibn Al-Sani)

 

NOMS MUSULMANS :

GARCONS :   —Loutfoullah : La bienveillance divine, la subtile et pénétrante grâce de Dieu.

                        — Loutfi: Doux, courtois, plein de délicatesse et de gentillesse.

                    — Ridwâne: satisfaction, contentement. Ange gardien du paradis.


FILLES :        — Loutfiyyah: même sens que Loutfi.

                        — Tafâni : dévouement, sacrifice.

                         — Tayyiba : bonne excellente, parfumée.

 


NOS CROYANCES FONDAMENTALES:

Aucune action n’est une obligation qui incombe à Allah. Ce qu’Il fait c‘est par Sa bénédiction et Sa grâce.

(Behesti Zewar).

ASTUCE : Arrosez vos fougères avec de l’eau glacée pour favoriser leur pousse.

 

La douceur du Imâne (Suite) : (histoire exclusivement réservée aux femmes).

Après avoir échappée à la prostitution et s’être convertie à l’Islam dans un état de l’UAE, une femme russe se rend dans son pays natal avec son mari pour renouveler son passeport.

 …Quand nous avons atterri, elle m’a dit : « Nous n’irons pas à la résidence de ma famille. Ma famille s’est distinguée pour sa loyauté et son fanatisme pour sa religion. Nous louerons une chambre durant notre séjour et nous effectuerons toutes les procédures pour le passeport. Ensuite nous visiterons ma famille ».

Le lendemain nous sommes allés au bureau des passeports. Ma femme  présenta une photographie noire et blanche habillée d’un hijab ne révélant que son visage. Nous avons été envoyés d’un officier à un autre.

Chacun exigeait qu’elle présente une photographie de couleur exposant entièrement son visage, ses cheveux et son cou. Chaque officier disait : « Ce n’est pas possible pour moi de donner un passeport qu’en respectant ces conditions ». Finalement on nous a dit que nous devions voyager à Moscou et nous adresser à l’officier principal de l’immigration. Ma femme s’est tourné vers moi et m’a dit : « 0 Khalid, il faut que nous allions à Moscou ». Je répondis : « O fille sincère, 0 untel et untel…., je l’ai flattée, essayant de la convaincre : « Allah n’impose rien à l’âme qui soit au-dessus de ses moyens. Crains Allah à hauteur de tes capacités. Et en ce moment tu n’es pas contrainte par quiconque. Le passeport ne sera vu que par quelques personnes, ensuite tu peux le cacher dans ta maison jusqu’à ce qu’il expire, et sa durée est de six à sept années ».

Elle m’a dit : «  Non, ce n’est pas possible pour moi de m’exposer après avoir reconnu la religion d’Allah le Tout-puissant. Si tu ne veux pas voyager à Moscou, alors je voyagerai seule étant donné que le problème est très important ».  Nous sommes arrivés au bureau de l’officier principal du département de l’immigration à Moscou. Il regarda le passeport et la photographie et dit : « Qu’est-ce qui me prouve que vous êtes sur cette photo? » Il voulait qu’elle découvre son visage. Elle répondit : « Demander à une de vos femmes officiers ou votre secrétaire de venir vérifier, mais vous, vous ne pouvez pas le faire ». Il fut très embarrassé et  prit le passeport avec la photo et les verrouilla dans son tiroir : « Vous n’aurez pas de nouveau passeport ni l’ancien à moins que vous m’ameniez des photographies avec les spécifications exigées ». Nous avons essayé de le convaincre ; mais sans succès. J’ai essayé aussi de convaincre ma femme avec un verset du Qour’ane : « Allah n’impose rien à l’âme qui soit au-dessus de ses moyens », mais elle m’a répondu: « 0 Khalid, j’ai appris à la maison où on enseignait le Qour’ane : « Quiconque craint Allah, Il fera pour lui une issue et le pourvoira d’où il ne prévoit pas » Alors que nous discutions, l’officier principal de l’immigration nous expulsa de son bureau.

 Nous avons accompli notre salah d’Isha cette nuit là et nous prîmes notre souper. Je me préparais à me coucher et elle m’a dit : « 0 Khâlid, tu vas dormir? Dans cette situation tu vas essayer de dormir? Nous sommes dans une situation qui nécessite que nous nous tournions vers Allah. Viens et supplions Allah. »

Je me leva et m’engagea dans les prières autant qu’Allah me permit de le faire et je j’alla me coucher. Quant à elle, elle continua de prier. J’ouvrais de temps en temps mes yeux, et je la voyais dans le roukou, dans le sadjdah, dans le quiyâm, faisant dou’a ou entrain de pleurer, jusqu’ à l’heure du Fajr. « Réveille-toi ! » me dit-elle. « Allons au Bureau de l’Immigration ». Je la demandai d’un ton perplexe. « Avec quoi? Où sont les photos ?  Nous n’avons pas de photo ! » Elle m’a dit : « allons et essayons. Ne perd pas espoir en la pitié d’Allah et ne soit pas découragé de l’aide d’Allah ! ». Quand nous marchâmes à travers le Bureau de l’Immigration, immédiatement un des officiers appela son nom : «  Mme untel ? » Elle répondit : « Oui ? »  Il lui a dit : «  Prenez votre ancien passeport et remplissez les formulaires de demande pour un nouveau passeport, mais payer les frais en premier ».

Nous étions enchantés. Par Allah, s’il aurait dit que nous devions donner tout l’argent nous avions, nous le lui aurions donné. Nous avons pris le passeport, payé les frais et nous sommes retournés dans notre chambre d’hôtel. Ma femme m’a regardé et m’a dit : « Ne t’avais-je pas dis qu’Allah nous ouvrira un chemin. » Ces mots ont frappé mon cœur et ont fait un impact immense sur mon Imâne. Nous décidâmes maintenant de visiter sa famille…(à suivre)

Note : Il est autorisé à une femme de se découvrir totalement la tête afin de prendre des photos pour ses pièces d’identité ou son passeport lorsque la loi l’oblige.

«La richesse diminue quand on la dépense tandis que la science croit quand on la répand »

 

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Mft Louqman A.S. I.




FLASH ISLAM N°11

 Mai 2007                                                                                                          Rabious-Sâni 1428
FLASH ISLAM     N°11

HADITH, PAROLES ET TRADITIONS DE MOUHAMMAD 

Notre Bien Aimé Prophète e  rapporta en ce sens :

« Celui qui a porté préjudice à son frère (en islam), soit quant à sa réputation, soit en tout autre chose, doit se le faire pardonner aujourd’hui, avant (l’Heure) où il n’y aura ni dinâr, ni dirham, (sinon) s’il y a à son actif quelques actions vertueuses, on en soustraira la valeur de sa mauvaise action, et, s’il n’y a pas de bonnes œuvres à son actif, on soustraira son équivalent des péchés de la victime pour être porté à son (propre) passif ».

[Rapporté Boukhâri]

 

DOU’A LORS DU TINTEMENT DES OREILLES :

Le Prophète e a dit : « lorsque l’oreille de l’un d’entre vous siffle, qu’il me mentionne, prie sur moi (lire le douroud) et dise :

 َذكَرَاللهُ مَنْ ذَكَرَنِي بِخَيْرٍِ

   Zakarallâhou man zakaraniy bi khaïr.

« Qu’ Allah mentionne celui qui me mentionne par le bien  ». (Rapporté par Al-Hâkim)

 

 NOMS MUSULMANS :

GARCONS : — Zaky : pur, vertueux, juste, intègre.

                   — Oumar: beau-père et deuxième calife du Prophètee. Son nom vient de ‘umr (vie)

                   — Mounîb : qui se repent et revient à Allah.


FILLES :      — Mounîbah : qui se repent et revient à Allah.

Moubîna : Claire, évidente.

                   — Châhida : témoin de la vérité.


 NOS CROYANCES FONDAMENTALES:

L’homme qui agit à l’encontre de la charia, ne peut être l’ami d’Allah. S’il arrive à un tel homme d’accomplir des choses extraordinaires, cela relève de la sorcellerie, du talent individuel ou d’une pratique satanique. On ne doit pas en faire un cas. (Behesti Zewar).


ASTUCE :

Pour éloigner les fourmis mettez un morceau de citron sur leur passage. L’autre morceau peut servir à enlever les mauvaises odeurs du réfrigérateur.

 

LE PANIER DE CHARBON:

Pourquoi lisons-nous le Qour’ane, même si nous ne comprenons pas un seul mot d’arabe???

Lisez cette belle histoire.

 

Un vieux Musulman habitait  une ferme dans les montagnes du Kentucky avec son petit-fils. Chaque matin le Grand-père s’asseyait à la table de la cuisine pour lire son Qour’ane. Son petit-fils voulait être juste comme lui et essayait de l’imiter de toutes les façons qu’il le pouvait.

 

Un jour le petit-fils demanda : « Pépé ! J’essaie de lire le Qour’ane juste comme vous mais je ne le comprends pas, et ce que je comprends je l’oublie aussitôt que je ferme le Qour’ane. A quoi ça sert de le lire ? » 

 

Le Grand-père s’arrêta silencieusement de mettre du charbon dans le four et répondit :

« Prend ce panier de charbon et amène moi un panier d’eau de la rivière ».

 

Le garçon fit comme il lui a été dit, mais toute l’eau coula avant qu’il ne soit retourné à la maison. Le grand-père rit et dit : «Tu devras aller un peu plus vite la prochaine fois, » et il le renvoya à la rivière avec le panier pour ressayer de ramener de l’eau dans le panier. Cette fois le garçon couru plus rapidement, mais une fois encore le panier était vide avant qu’il n’atteigne la maison. Hors d’haleine, il dit à son grand-père que c’est impossible de porter de l’eau dans un panier et il alla chercher un seau.

 

Le vieil homme lui dit, « je ne veux pas un seau d’eau ; je veux un panier d’eau. Tu ne vas pas assez vite » et il sortit pour regarder le garçon essayer encore une fois.

 

A ce moment, le garçon su que c’était impossible, mais il voulait montrer à son grand-père qui même s’il courrait aussi vite qu’il le pouvait, l’eau s’écoulera avant qu’il ne soit retourné à la maison.

 

Le garçon plongea le panier dans la rivière et couru très vite, mais quand il atteignit son grand-père le panier était encore vide. Essoufflé, il dit, « Tu vois Pépé, c’est inutile ! »  

 

« Donc, tu penses que c’est inutile ! » Le vieil homme dit : « Regarde le panier ».

 

Le garçon regarda le panier et pour la première fois il se rendit compte que le panier était différent. Il s’est transformé d’un vieux panier de charbon sale en un panier propre, à l’intérieure comme à l’extérieure.

 

« Mon fils, c’est ce qui se passe quand tu lis le Qour’ane. Tu ne peux pas comprendre ou tout te rappeler, mais quand tu le lis, tu changes ton intérieure et ton extérieure. C’est le travail d’Allah dans notre vie ».

 

Mft Louqman A.S. I.

«La richesse diminue quand on la dépense tandis que la science croit quand on la répand »

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